Galerie Photographique
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(Janvier 2023)
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Sittelle torchepot
La Sittelle torchepot (Sitta europaea) est un passereau essentiellement forestier mais qui se rencontre dans les parcs et jardins de nos régions, plus particulièrement sur les vieux arbres sur lesquels elle circule en tous sens sur les grosses branches et les troncs.
Elle est sans cesse en mouvement. Très agile et active, elle peut descendre le long d'un tronc d'arbre la tête en bas : aucun autre oiseau européen ne peut faire cela. Ses qualités de grimpeuse sont hors du commun la mettant parfois en situation acrobatique.
La sittelle est un oiseau de nature solitaire, qui se déplace en couple mais jamais en groupe.
Elle est sans cesse en mouvement. Très agile et active, elle peut descendre le long d'un tronc d'arbre la tête en bas : aucun autre oiseau européen ne peut faire cela. Ses qualités de grimpeuse sont hors du commun la mettant parfois en situation acrobatique.
La sittelle est un oiseau de nature solitaire, qui se déplace en couple mais jamais en groupe.
Pinson des arbres
Le Pinson des arbres (Fringilla coelebs) est une espèce de petits passereaux, partiellement migrateur, très répandu, de la famille des Fringillidés.
C'est la plus fréquente et la plus répandue des trois espèces de pinsons.
Il est présent dans toute l'Europe à l'exception de l'Islande et de la Scandinavie la plus septentrionale, son aire de répartition s'étend vers l'est jusqu'en Sibérie centrale. C'est aussi un oiseau reproducteur en Afrique du Nord et au Proche-Orient jusqu'en Iran.
En Nouvelle-Zélande et en Afrique du Sud, le pinson a été introduit par l'homme.
En Europe centrale, les pinsons des arbres sont des migrateurs partiels, en Europe de l'Est et du Nord des oiseaux migrateurs. Une grande partie de la population reste dans l'aire de reproduction tout au long de l'année. Les pinsons, qui migrent vers des régions au climat plus favorable pendant les mois d'hiver, migrent de jour comme de nuit. Ils suivent en partie le littoral, les vallées fluviales ou les cols de montagne.
Au Maroc, les oiseaux migrateurs en provenance d'Europe peuvent être observés surtout de la fin août à novembre. Dans le détroit de Gibraltar, on peut observer des pinsons européens en migration dès janvier et la migration se poursuit jusqu'en avril. Au Maroc, on a déjà trouvé un oiseau qui avait été bagué à l'origine à Kaliningrad, à 3 250 kilomètres de là. En Algérie, des oiseaux d'Allemagne, de Suisse, de France et d'Italie font partie des oiseaux récupérés.
C'est la plus fréquente et la plus répandue des trois espèces de pinsons.
Il est présent dans toute l'Europe à l'exception de l'Islande et de la Scandinavie la plus septentrionale, son aire de répartition s'étend vers l'est jusqu'en Sibérie centrale. C'est aussi un oiseau reproducteur en Afrique du Nord et au Proche-Orient jusqu'en Iran.
En Nouvelle-Zélande et en Afrique du Sud, le pinson a été introduit par l'homme.
En Europe centrale, les pinsons des arbres sont des migrateurs partiels, en Europe de l'Est et du Nord des oiseaux migrateurs. Une grande partie de la population reste dans l'aire de reproduction tout au long de l'année. Les pinsons, qui migrent vers des régions au climat plus favorable pendant les mois d'hiver, migrent de jour comme de nuit. Ils suivent en partie le littoral, les vallées fluviales ou les cols de montagne.
Au Maroc, les oiseaux migrateurs en provenance d'Europe peuvent être observés surtout de la fin août à novembre. Dans le détroit de Gibraltar, on peut observer des pinsons européens en migration dès janvier et la migration se poursuit jusqu'en avril. Au Maroc, on a déjà trouvé un oiseau qui avait été bagué à l'origine à Kaliningrad, à 3 250 kilomètres de là. En Algérie, des oiseaux d'Allemagne, de Suisse, de France et d'Italie font partie des oiseaux récupérés.
Mésange bleue
La Mésange bleue (Cyanistes caeruleus) est une espèce de passereaux de la famille des paridés.
Cette mésange commune est facilement identifiable grâce à sa petite taille, ses fines pattes, son petit bec court, et son plumage à dominante de bleu cobalt sur la calotte, les ailes et le dessus de la queue, jaune sur le poitrail et le ventre.
Elle occupe préférentiellement les habitats pourvus de nombreux arbres et de verdure où elle trouve sa nourriture. Les forêts de feuillus et les bocages sont ses milieux de prédilection mais elle fréquente aussi les parcs et les jardins.
Espèce européenne, elle partage son habitat avec d'autres espèces de mésanges (comme la mésange charbonnière) qui montrent des différences dans la distribution spatiale et dans la niche écologique exploitée. Oiseau essentiellement insectivore et sédentaire, il est familier aux hommes et fait preuve d'une certaine tendance anthropophile qui s'adapte le plus volontiers aux jardins des localités habitées, même dans les grandes villes.
Cette mésange commune est facilement identifiable grâce à sa petite taille, ses fines pattes, son petit bec court, et son plumage à dominante de bleu cobalt sur la calotte, les ailes et le dessus de la queue, jaune sur le poitrail et le ventre.
Elle occupe préférentiellement les habitats pourvus de nombreux arbres et de verdure où elle trouve sa nourriture. Les forêts de feuillus et les bocages sont ses milieux de prédilection mais elle fréquente aussi les parcs et les jardins.
Espèce européenne, elle partage son habitat avec d'autres espèces de mésanges (comme la mésange charbonnière) qui montrent des différences dans la distribution spatiale et dans la niche écologique exploitée. Oiseau essentiellement insectivore et sédentaire, il est familier aux hommes et fait preuve d'une certaine tendance anthropophile qui s'adapte le plus volontiers aux jardins des localités habitées, même dans les grandes villes.
Étourneau sansonnet
L’Étourneau sansonnet (Sturnus vulgaris) est une espèce de passereaux de la famille des Sturnidés, originaire de la plus grande partie de l'Eurasie, mais qui a été introduite dans tous les continents excepté l'Antarctique.
Espèce hautement sociale, l'étourneau vit en regroupements qui peuvent parfois compter plusieurs milliers voire millions d'individus. Il est également connu pour ses capacités vocales qui lui permettent d'imiter avec une grande précision les vocalisations d'autres individus, de la même espèce ou non, ainsi que des bruits non biologiques issus de son environnement.
En raison de ses caractéristiques qui font de lui une espèce généraliste, comme la grande variété d'habitats qu'il peut occuper ou son régime alimentaire omnivore, l'étourneau fait partie des espèces animales particulièrement adaptables. Il peut ainsi causer des dégâts aux cultures tout comme être source de nuisances en milieu urbain. Ses populations urbaines et périurbaines sont parfois très denses, au point de le faire considérer comme espèce envahissante à certains endroits et d'entraîner des mesures de régulation de ses effectifs.
En consommant des invertébrés parfois nuisibles, comme des chenilles ou des larves de Tipulidae, l'étourneau sansonnet est parfois considéré bénéfique à l'agriculture et à la gestion forestière. Il a ainsi parfois été introduit dans certaines zones géographiques. Il est ou a été protégé par l'humain qui lui a installé des nids artificiels en bordure de champs, comme en Nouvelle-Zélande ou dans l'ancienne Union soviétique, où 25 millions de nids ont été érigés.
Espèce hautement sociale, l'étourneau vit en regroupements qui peuvent parfois compter plusieurs milliers voire millions d'individus. Il est également connu pour ses capacités vocales qui lui permettent d'imiter avec une grande précision les vocalisations d'autres individus, de la même espèce ou non, ainsi que des bruits non biologiques issus de son environnement.
En raison de ses caractéristiques qui font de lui une espèce généraliste, comme la grande variété d'habitats qu'il peut occuper ou son régime alimentaire omnivore, l'étourneau fait partie des espèces animales particulièrement adaptables. Il peut ainsi causer des dégâts aux cultures tout comme être source de nuisances en milieu urbain. Ses populations urbaines et périurbaines sont parfois très denses, au point de le faire considérer comme espèce envahissante à certains endroits et d'entraîner des mesures de régulation de ses effectifs.
En consommant des invertébrés parfois nuisibles, comme des chenilles ou des larves de Tipulidae, l'étourneau sansonnet est parfois considéré bénéfique à l'agriculture et à la gestion forestière. Il a ainsi parfois été introduit dans certaines zones géographiques. Il est ou a été protégé par l'humain qui lui a installé des nids artificiels en bordure de champs, comme en Nouvelle-Zélande ou dans l'ancienne Union soviétique, où 25 millions de nids ont été érigés.
Grand corbeau
Le Grand corbeau (Corvus corax) est une espèce d'oiseaux de la famille des corvidés.
Il est le plus grand oiseau de l'ordre des passeriformes.
Le Grand Corbeau est le plus grand passereau au monde. Pour prendre une comparaison, il est plus grand et plus lourd qu'une Buse variable et a une envergure supérieure. Il est donc nettement plus grand que le Corbeau freux ou la Corneille noire auxquels il ressemble superficiellement.
Présent dans tout l'hémisphère nord, c’est l’espèce de corvidé dont l’aire de répartition est la plus étendue. Les grands corbeaux vivent généralement de 10 à 15 ans mais certains individus ont vécu 40 ans.
Le grand corbeau est omnivore et opportuniste : son régime alimentaire varie selon le lieu, la saison et ce qu'il trouve par hasard. Par exemple, le régime alimentaire des grands corbeaux nichant près des décharges présente un pourcentage plus élevé de déchets, ceux nichant près des routes consomment plus de vertébrés victimes de collisions et ceux nichant loin de ces sources de nourriture consomment plus d'arthropodes et de plantes.
En certains endroits, ils sont majoritairement nécrophages, se nourrissant de carcasses et des asticots et silphidés associés. Par exemple, dans la toundra du versant nord de l'Alaska, les corbeaux satisfont environ la moitié de leurs besoins énergétiques grâce à la prédation (surtout de petits rongeurs) et l’autre moitié provient de nécrophagie (surtout de carcasses de caribou et de lagopèdes).
Il est le plus grand oiseau de l'ordre des passeriformes.
Le Grand Corbeau est le plus grand passereau au monde. Pour prendre une comparaison, il est plus grand et plus lourd qu'une Buse variable et a une envergure supérieure. Il est donc nettement plus grand que le Corbeau freux ou la Corneille noire auxquels il ressemble superficiellement.
Présent dans tout l'hémisphère nord, c’est l’espèce de corvidé dont l’aire de répartition est la plus étendue. Les grands corbeaux vivent généralement de 10 à 15 ans mais certains individus ont vécu 40 ans.
Le grand corbeau est omnivore et opportuniste : son régime alimentaire varie selon le lieu, la saison et ce qu'il trouve par hasard. Par exemple, le régime alimentaire des grands corbeaux nichant près des décharges présente un pourcentage plus élevé de déchets, ceux nichant près des routes consomment plus de vertébrés victimes de collisions et ceux nichant loin de ces sources de nourriture consomment plus d'arthropodes et de plantes.
En certains endroits, ils sont majoritairement nécrophages, se nourrissant de carcasses et des asticots et silphidés associés. Par exemple, dans la toundra du versant nord de l'Alaska, les corbeaux satisfont environ la moitié de leurs besoins énergétiques grâce à la prédation (surtout de petits rongeurs) et l’autre moitié provient de nécrophagie (surtout de carcasses de caribou et de lagopèdes).
Rougegorge familier
Le Rougegorge familier (Erithacus rubecula) est une espèce de passereaux.
Auparavant placé dans la famille des Turdidae, il figure actuellement, avec d'autres représentants de celle-ci (particulièrement les Tariers et les Traquets), dans celle des Muscicapidae.
Le rouge-gorge se nourrit dans les campagnes ouvertes et dans les sous-bois.
Son régime alimentaire est composé surtout des invertébrés vivant par terre (insectes, notamment des coléoptères, escargots, vers, araignées). De l'automne au début du printemps, il consomme aussi beaucoup de baies et autres petits fruits. Sa technique de chasse est bien adaptée au mélange de végétation épaisse et d'espaces libres que l'on trouve dans les jardins et les sous-bois. Perché à faible hauteur, l'oiseau observe les environs, descend, saisit sa proie et se perche à nouveau. Ou bien il sautille, s'arrêtant ici et là pour chercher une victime.
En forêt, le rouge-gorge profite des insectes dérangés par les faisans, cerfs et sangliers. C'est peut-être pour cela qu'il est si familier et qu'il suit de façon très intéressée la bêche du jardinier. On a vu aussi des rougegorges suivre des taupes creusant leurs galeries et attraper des vers de terre.
Sa nature peu farouche et son plumage attractif l'ont rendu populaire. Présent dans presque chaque jardin, c'est l'un des oiseaux les plus familiers, cherchant sa nourriture à proximité des humains en train de jardiner. Il ira jusqu'à venir se nourrir de proies vivantes, comme des vers de terre ou des vers de farine, présentés à la main. Si l'hiver est rude, il deviendra encore plus familier, car vu son métabolisme, le manque de nourriture dû au froid le rend très vulnérable et la mortalité est alors importante, l'espèce étant casanière et rechignant à migrer.
Auparavant placé dans la famille des Turdidae, il figure actuellement, avec d'autres représentants de celle-ci (particulièrement les Tariers et les Traquets), dans celle des Muscicapidae.
Le rouge-gorge se nourrit dans les campagnes ouvertes et dans les sous-bois.
Son régime alimentaire est composé surtout des invertébrés vivant par terre (insectes, notamment des coléoptères, escargots, vers, araignées). De l'automne au début du printemps, il consomme aussi beaucoup de baies et autres petits fruits. Sa technique de chasse est bien adaptée au mélange de végétation épaisse et d'espaces libres que l'on trouve dans les jardins et les sous-bois. Perché à faible hauteur, l'oiseau observe les environs, descend, saisit sa proie et se perche à nouveau. Ou bien il sautille, s'arrêtant ici et là pour chercher une victime.
En forêt, le rouge-gorge profite des insectes dérangés par les faisans, cerfs et sangliers. C'est peut-être pour cela qu'il est si familier et qu'il suit de façon très intéressée la bêche du jardinier. On a vu aussi des rougegorges suivre des taupes creusant leurs galeries et attraper des vers de terre.
Sa nature peu farouche et son plumage attractif l'ont rendu populaire. Présent dans presque chaque jardin, c'est l'un des oiseaux les plus familiers, cherchant sa nourriture à proximité des humains en train de jardiner. Il ira jusqu'à venir se nourrir de proies vivantes, comme des vers de terre ou des vers de farine, présentés à la main. Si l'hiver est rude, il deviendra encore plus familier, car vu son métabolisme, le manque de nourriture dû au froid le rend très vulnérable et la mortalité est alors importante, l'espèce étant casanière et rechignant à migrer.
Mésange à longue queue
La Mésange à longue queue ou Orite à longue queue (Aegithalos caudatus) est une espèce de passereaux de la famille des Aegithalidae.
La mésange à longue queue était anciennement appelée « tupinet » ou « orite ». Le naturaliste Conrad Gessner la surnommait affectueusement « queue de poêle ». Les Aegithalidae n'étant pas directement apparentés aux Paridae, les mésanges « vraies », il a été proposé de ressusciter certains de ces vieux noms pour désigner les espèces de la famille.
Ce changement de nom de l'espèce est notamment proposé par Normand David et David Gosselin, ornithologues amateurs québécois, anciens membres de la CINFO et proposant des listes de noms normalisés reprises sur de nombreux sites internet. L'Inventaire national du patrimoine naturel retient par exemple le nom d'« Orite à longue queue », alors que le mot « Orite » désignait précédemment déjà à lui seul la mésange à longue queue.
La mésange à longue queue était anciennement appelée « tupinet » ou « orite ». Le naturaliste Conrad Gessner la surnommait affectueusement « queue de poêle ». Les Aegithalidae n'étant pas directement apparentés aux Paridae, les mésanges « vraies », il a été proposé de ressusciter certains de ces vieux noms pour désigner les espèces de la famille.
Ce changement de nom de l'espèce est notamment proposé par Normand David et David Gosselin, ornithologues amateurs québécois, anciens membres de la CINFO et proposant des listes de noms normalisés reprises sur de nombreux sites internet. L'Inventaire national du patrimoine naturel retient par exemple le nom d'« Orite à longue queue », alors que le mot « Orite » désignait précédemment déjà à lui seul la mésange à longue queue.
Rougequeue à front blanc
Le Rougequeue à front blanc (Phoenicurus phoenicurus), dit aussi Rossignol de muraille, est une espèce de passereaux de la famille des Muscicapidae.
La présence du rougequeue à front blanc sur l’ensemble du territoire français est attestée depuis le XIXème siècle.
Il est inféodé à l’arbre ; il se rencontre dans une grande variété de milieux boisés ou plantés d’arbres. Il affectionne les feuillus mais apprécie également les forêts de pins maritimes. Le rougequeue à front blanc niche en cavité, il a donc besoin de vieux arbres ou de nichoirs artificiels pour sa reproduction ; il niche également dans les cavités des murs, dans d'anciens nids ouverts sur le haut d'hirondelle ou de martinet.
La présence du rougequeue à front blanc sur l’ensemble du territoire français est attestée depuis le XIXème siècle.
Il est inféodé à l’arbre ; il se rencontre dans une grande variété de milieux boisés ou plantés d’arbres. Il affectionne les feuillus mais apprécie également les forêts de pins maritimes. Le rougequeue à front blanc niche en cavité, il a donc besoin de vieux arbres ou de nichoirs artificiels pour sa reproduction ; il niche également dans les cavités des murs, dans d'anciens nids ouverts sur le haut d'hirondelle ou de martinet.