Galerie Photographique
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(Janvier 2023)
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Fauvette passerinette
Fauvette passerinette (Curruca cantillans)
Petit passereau de la famille des Sylvidés, constituée de 2 genres (Sylvia et Curruca) pour 34 espèces.
Par sa silhouette et par son allure, elle ressemble à une grisette de petite taille, plus fine et avec une queue relativement plus courte. Sous un bon spectre de lumière, le mâle affiche une tête et un dos gris bleuté, ressemblant beaucoup au bleu des sittelles.
Le nom de fauvette subalpine, qu'on donne également à cette espèce, lui convient parfaitement. En effet, en dehors des périodes de passage qui sont les seuls moments où elle fréquente les plaines basses, cet oiseau s'installe de préférence dans les garrigues, sur les flancs des collines et même dans les montagnes.
Il n'abandonne jamais sa brousse sauvage pour le confort des jardins. Les endroits arides exposés au soleil et les vallons ombragés lui conviennent aussi bien. Il requiert simplement une végétation buissonnante assez touffue et de hauteur moyenne telle que les maquis de chênes, les taillis, les clairières et les lisières des bois, les fourrés des versants rocailleux, les prairies et les zones boisées éparses. Dans les régions montagneuses du sud de la France, la fauvette passerinette s'élève jusqu'à 900, voir 1 300 mètres d'altitude.
Par sa silhouette et par son allure, elle ressemble à une grisette de petite taille, plus fine et avec une queue relativement plus courte. Sous un bon spectre de lumière, le mâle affiche une tête et un dos gris bleuté, ressemblant beaucoup au bleu des sittelles.
Le nom de fauvette subalpine, qu'on donne également à cette espèce, lui convient parfaitement. En effet, en dehors des périodes de passage qui sont les seuls moments où elle fréquente les plaines basses, cet oiseau s'installe de préférence dans les garrigues, sur les flancs des collines et même dans les montagnes.
Il n'abandonne jamais sa brousse sauvage pour le confort des jardins. Les endroits arides exposés au soleil et les vallons ombragés lui conviennent aussi bien. Il requiert simplement une végétation buissonnante assez touffue et de hauteur moyenne telle que les maquis de chênes, les taillis, les clairières et les lisières des bois, les fourrés des versants rocailleux, les prairies et les zones boisées éparses. Dans les régions montagneuses du sud de la France, la fauvette passerinette s'élève jusqu'à 900, voir 1 300 mètres d'altitude.
Rougequeue à front blanc
Le Rougequeue à front blanc (Phoenicurus phoenicurus), dit aussi Rossignol de muraille, est une espèce de passereaux de la famille des Muscicapidae.
La présence du rougequeue à front blanc sur l’ensemble du territoire français est attestée depuis le XIXème siècle.
Il est inféodé à l’arbre ; il se rencontre dans une grande variété de milieux boisés ou plantés d’arbres. Il affectionne les feuillus mais apprécie également les forêts de pins maritimes. Le rougequeue à front blanc niche en cavité, il a donc besoin de vieux arbres ou de nichoirs artificiels pour sa reproduction ; il niche également dans les cavités des murs, dans d'anciens nids ouverts sur le haut d'hirondelle ou de martinet.
La présence du rougequeue à front blanc sur l’ensemble du territoire français est attestée depuis le XIXème siècle.
Il est inféodé à l’arbre ; il se rencontre dans une grande variété de milieux boisés ou plantés d’arbres. Il affectionne les feuillus mais apprécie également les forêts de pins maritimes. Le rougequeue à front blanc niche en cavité, il a donc besoin de vieux arbres ou de nichoirs artificiels pour sa reproduction ; il niche également dans les cavités des murs, dans d'anciens nids ouverts sur le haut d'hirondelle ou de martinet.
Accenteur alpin
L'Accenteur alpin (Prunella collaris) est une espèce d'oiseaux de la famille des Prunellidae.
C'est une espèce typique des hautes montagnes. Il vit au-dessus de la limite des arbres dans les alpages. On le trouve typiquement entre 1800 et 4000 mètres. En accord avec l'abondance des chutes de neige, il peut descendre dans les vallées en hiver.
Cet oiseau est majoritairement insectivore, notamment au printemps et en été où il profite d'une abondance de proies. Celles-ci comprennent les insectes, mais aussi de nombreux types d'invertébrés, incluant les vers de terre, les araignées et des petits mollusques. Lorsque les quantités de proies diminuent, il devient granivore.
C'est une espèce typique des hautes montagnes. Il vit au-dessus de la limite des arbres dans les alpages. On le trouve typiquement entre 1800 et 4000 mètres. En accord avec l'abondance des chutes de neige, il peut descendre dans les vallées en hiver.
Cet oiseau est majoritairement insectivore, notamment au printemps et en été où il profite d'une abondance de proies. Celles-ci comprennent les insectes, mais aussi de nombreux types d'invertébrés, incluant les vers de terre, les araignées et des petits mollusques. Lorsque les quantités de proies diminuent, il devient granivore.
Gros-bec casse-noyaux
Le Gros-bec casse-noyaux (Coccothraustes coccothraustes) est une belle espèce de passereaux de la famille des Fringillidae. Il est partiellement migrateur.
C'est l'espèce la plus grande de la famille des fringillidés et la seule du genre Coccothraustes. Il est apparenté à certains gros-becs, actuellement classés dans des genres différents.
Le Gros-bec casse-noyaux est avant tout un oiseau forestier. Dans l'ouest de son aire, il apprécie surtout les forêts de feuillus, tout particulièrement les chênaies, tandis qu'à l'est, il fréquente aussi bien les forêts mixtes que les forêts de conifères comme les pinèdes ou les junipéraies. En revanche, il n'occupe pas la taïga nordique. De ce milieu forestier d'origine il peut déborder à la faveur des parcs et jardins, vergers et autres milieux arborés anthropisés.
Sa présence et son abondance sont déterminées par l'abondance des graines dont il se nourrit majoritairement, d'où une variabilité interannuelle qui peut être importante. D'une saison à l'autre, il peut aussi y avoir des changements d'habitat avec des déplacements conséquents.
C'est l'espèce la plus grande de la famille des fringillidés et la seule du genre Coccothraustes. Il est apparenté à certains gros-becs, actuellement classés dans des genres différents.
Le Gros-bec casse-noyaux est avant tout un oiseau forestier. Dans l'ouest de son aire, il apprécie surtout les forêts de feuillus, tout particulièrement les chênaies, tandis qu'à l'est, il fréquente aussi bien les forêts mixtes que les forêts de conifères comme les pinèdes ou les junipéraies. En revanche, il n'occupe pas la taïga nordique. De ce milieu forestier d'origine il peut déborder à la faveur des parcs et jardins, vergers et autres milieux arborés anthropisés.
Sa présence et son abondance sont déterminées par l'abondance des graines dont il se nourrit majoritairement, d'où une variabilité interannuelle qui peut être importante. D'une saison à l'autre, il peut aussi y avoir des changements d'habitat avec des déplacements conséquents.
Grimpereau des bois
Le Grimpereau des bois (Certhia familiaris), aussi appelé Grimpereau familier, est une espèce de passereaux de la famille des Certhiidae.
Il est physiquement semblable à d'autres grimpereaux, avec un bec recourbé, les parties supérieures brunes, comportant des motifs plus clairs, les parties inférieures blanchâtres, et une queue constituée de longues plumes raides, qui l'aident à grimper aux troncs d'arbre.
Le meilleur moyen de le distinguer du Grimpereau des jardins (Certhia brachydactyla), avec lequel il partage une grande partie de sa répartition européenne, reste son chant.
Le Grimpereau des bois est insectivore et monte vers le haut des troncs comme une souris, pour chercher les invertébrés qu'il trouve dans les fissures de l'écorce avec son fin bec incurvé. Il vole alors à la base d'un autre arbre avec un vol erratique caractéristique.
Cet oiseau peu sociable est solitaire en dehors de la saison nuptiale, mais peut rester en groupes par les temps les plus froids. L'espèce n'est pas menacée mais est sensible à la qualité de son habitat, et sert ainsi notamment d'indicateur biologique du morcellement des forêts.
Il est physiquement semblable à d'autres grimpereaux, avec un bec recourbé, les parties supérieures brunes, comportant des motifs plus clairs, les parties inférieures blanchâtres, et une queue constituée de longues plumes raides, qui l'aident à grimper aux troncs d'arbre.
Le meilleur moyen de le distinguer du Grimpereau des jardins (Certhia brachydactyla), avec lequel il partage une grande partie de sa répartition européenne, reste son chant.
Le Grimpereau des bois est insectivore et monte vers le haut des troncs comme une souris, pour chercher les invertébrés qu'il trouve dans les fissures de l'écorce avec son fin bec incurvé. Il vole alors à la base d'un autre arbre avec un vol erratique caractéristique.
Cet oiseau peu sociable est solitaire en dehors de la saison nuptiale, mais peut rester en groupes par les temps les plus froids. L'espèce n'est pas menacée mais est sensible à la qualité de son habitat, et sert ainsi notamment d'indicateur biologique du morcellement des forêts.
Traquet motteux
Le Traquet motteux (Oenanthe oenanthe) est une espèce de passereaux insectivores migrateurs de la famille des Muscicapidae.
C'est l'espèce de traquets la plus répandue.
Le Traquet motteux effectue l'un des plus longs voyages de tous les petits oiseaux, traversant l'océan, la glace et le désert. Il migre de l'Afrique subsaharienne au printemps vers une vaste zone de l'hémisphère Nord qui comprend l'Asie du Nord et centrale, l'Europe, le Groenland, l'Alaska et certaines parties du Canada. On pourrait soutenir que certains des oiseaux qui se reproduisent en Asie du Nord pourraient emprunter un chemin plus court et passer l'hiver en Asie du Sud ; cependant, leur tendance héréditaire à migrer les ramène en Afrique, accomplissant ainsi l'une des plus longues migrations du règne animal pour sa taille.
Les oiseaux de la grande et brillante race du Groenland, leucorhoa, effectuent l'une des plus longues traversées transocéaniques de tous les passereaux. Au printemps, la plupart d'entre eux migrent le long d'une route (communément utilisée par les échassiers et les oiseaux aquatiques) de l'Afrique au Groenland en passant par l'Europe continentale, les îles britanniques et l'Islande. Cependant, des observations faites en automne à partir de navires suggèrent que certains oiseaux traversent l'Atlantique Nord directement du Canada et du Groenland jusqu'au sud-ouest de l'Europe, une distance pouvant atteindre 2 500 kilomètres. On pense que les oiseaux qui se reproduisent dans l'est du Canada volent de l'île de Baffin et de Terre-Neuve aux Açores en passant par le Groenland, l'Irlande et le Portugal, traversant ainsi 3 500 kilomètres d'Atlantique Nord avant de poursuivre leur route vers l'Afrique...
C'est l'espèce de traquets la plus répandue.
Le Traquet motteux effectue l'un des plus longs voyages de tous les petits oiseaux, traversant l'océan, la glace et le désert. Il migre de l'Afrique subsaharienne au printemps vers une vaste zone de l'hémisphère Nord qui comprend l'Asie du Nord et centrale, l'Europe, le Groenland, l'Alaska et certaines parties du Canada. On pourrait soutenir que certains des oiseaux qui se reproduisent en Asie du Nord pourraient emprunter un chemin plus court et passer l'hiver en Asie du Sud ; cependant, leur tendance héréditaire à migrer les ramène en Afrique, accomplissant ainsi l'une des plus longues migrations du règne animal pour sa taille.
Les oiseaux de la grande et brillante race du Groenland, leucorhoa, effectuent l'une des plus longues traversées transocéaniques de tous les passereaux. Au printemps, la plupart d'entre eux migrent le long d'une route (communément utilisée par les échassiers et les oiseaux aquatiques) de l'Afrique au Groenland en passant par l'Europe continentale, les îles britanniques et l'Islande. Cependant, des observations faites en automne à partir de navires suggèrent que certains oiseaux traversent l'Atlantique Nord directement du Canada et du Groenland jusqu'au sud-ouest de l'Europe, une distance pouvant atteindre 2 500 kilomètres. On pense que les oiseaux qui se reproduisent dans l'est du Canada volent de l'île de Baffin et de Terre-Neuve aux Açores en passant par le Groenland, l'Irlande et le Portugal, traversant ainsi 3 500 kilomètres d'Atlantique Nord avant de poursuivre leur route vers l'Afrique...
Cerf et Démant
Magnifique soirée au cours de laquelle mes souhaits ont été exhaussés ! Mettre dans ce décor un si beau sujet 😉
Pipit de Berthelot
Le Pipit de Berthelot (Anthus berthelotii) est une espèce de passereaux appartenant à la famille des Motacillidae. Ses noms normalisé et scientifique commémorent le naturaliste français Sabin Berthelot (1794-1880).
Il niche à Madère et aux îles Canaries, où j'ai eu le plaisir de savourer quelques séances au printemps 2022.
Il niche à Madère et aux îles Canaries, où j'ai eu le plaisir de savourer quelques séances au printemps 2022.
Roitelet huppé
Le Roitelet huppé (Regulus regulus) est une petite espèce de passereaux de la famille des Regulidae.
Le Roitelet se nourrit essentiellement d'insectes et d'araignées, ses besoins deviennent énormes en période de migration; constamment en mouvement, son poids lui permet d'atteindre les rameaux les plus fins. Il inspecte branches et rameaux de conifères, en hauteur de préférence, au besoin, il descend et cherche sa nourriture même au sol mais ne consomme que ce qui est visible, y compris des graines, sans chercher à soulever les feuilles ou à fouiller les écorces qu'il se contente de sonder.
Par temps chaud, il peut aussi cueillir la nourriture en voletant, sans se poser.
La quantité consommée varie de 7-9 g au double ou au triple en période froide ou lors des migrations.
Le Roitelet se nourrit essentiellement d'insectes et d'araignées, ses besoins deviennent énormes en période de migration; constamment en mouvement, son poids lui permet d'atteindre les rameaux les plus fins. Il inspecte branches et rameaux de conifères, en hauteur de préférence, au besoin, il descend et cherche sa nourriture même au sol mais ne consomme que ce qui est visible, y compris des graines, sans chercher à soulever les feuilles ou à fouiller les écorces qu'il se contente de sonder.
Par temps chaud, il peut aussi cueillir la nourriture en voletant, sans se poser.
La quantité consommée varie de 7-9 g au double ou au triple en période froide ou lors des migrations.
Duo de velours
Image réalisée après des soirées et des soirées de surveillance des activités de ce sublime duo. Observations toujours faites à la longue vue, de très très loin, pour ne jamais déranger ces êtres précieux...
Retour aux dortoirs
Au petit matin une harde de biches retourne - selon un ordre hiérarchique - à leurs quartiers diurnes.
Contrastes
Soleil voilé, ciel tourmenté, brumes des vallées.
Parfois tout veut se coordonner pour souligner la beauté de nos contrées...
Magie réintroduite
Les vautours (ici un vautour fauve) ont longtemps trainé derrière eux de vieilles croyances erronées, peurs et diabolisations historiques.
Ils ont avec chance été réintroduits avec succès et sont un maillon indispensable pour la bonne santé de nos écosystèmes.

