Galerie Photographique
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(Janvier 2023)
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Pie bavarde
La Pie bavarde (Pica pica) est l'une des grandes espèces de corvidés parmi les plus répandues en Europe et dans une grande partie de l'Asie. Les pies peuvent aisément être identifiées grâce à leur morphologie et à leur plumage noir et blanc caractéristique. Il existe 13 sous-espèces de pie bavarde.
En Europe, les ornithologues assistent depuis la fin du XXème siècle à un net changement de comportement, de démographie, de dynamique des populations, d'habitats et répartition spatiale chez cette espèce. En Europe de l'Ouest, et notamment en France, elle tend à fortement régresser dans les campagnes et à devenir plus urbaine et péri-urbaine. Cela modifie l'écologie de l'espèce via les phénomènes de compétition, prédation, ressources alimentaires, piégeage qui la concernent, en suscitant des controverses sur le statut à accorder à l'espèce en ville. Dans le cadre de l'écologie urbaine ou dans les milieux ruraux où elle est encore fréquemment piégée et tuée, l’impact écologique de la pie n’a jamais été prouvé sérieusement bien qu’il soit la principale justification du contrôle des populations... C'est une espèce qui fait preuve de capacités d'adaptation à l'anthropisation des paysages, mais non au piégeage (F. Chiron a « montré que la régulation en France était une cause majeure du déclin des effectifs »).
Comme d'autres corvidés, la pie bavarde, de nature grégaire (en particulier l'hiver), est une espèce bruyante et peu farouche qui aime à vivre dans le voisinage de l'homme et semble apprécier de plus en plus, nicher près des habitations et dans les espaces verts où elle atteint ses plus fortes densités. Elle semble y trouver des habitats ouverts et faciles à prospecter (pour la nourriture) et peut-être une protection contre les rapaces et autres prédateurs.
Si elle sait être méfiante et discrète en cas de danger, c'est également un oiseau extrêmement curieux et attiré par les objets brillants ; ce comportement est sans doute à l'origine de sa réputation de voleuse. Le cerveau des oiseaux commence à être mieux compris, et ses performances réévaluées. La pie bavarde est dotée d'un cerveau proportionnellement plus important que celui de beaucoup d'autres oiseaux. C'est un oiseau qui mémorise bien son environnement et les endroits où il peut trouver à manger, y compris dans des cachettes où il a pu accumuler de la nourriture. C'est l'un des oiseaux les plus intelligents : l'individu de l'espèce, à l'instar du corbeau, possède une capacité d'apprentissage qui en fait un oiseau capable de s'adapter à de nombreux changements de l'environnement. Il est ainsi capable de stratégie de groupe (face à un prédateur tel que le chat) et est le premier des oiseaux à avoir été (pour certains spécimens) capable d'avoir conscience de se voir dans un miroir, dans le fameux « test du miroir » pratiqué par les éthologues et réputé démontrer une conscience de soi (comme c'est le cas pour l'homme, le chimpanzé, le gorille, l'orang-outan, le chimpanzé pygmée, le dauphin ou l'éléphant). La pie peut avertir ses congénères d'un danger et peut apprendre à ses petits une partie de ce qu'elle a appris elle-même et peut faire preuve d'empathie. Des pies ont même été observées en train d'organiser des funérailles. Les pies se sont tenues près du cadavre et lui ont même apporté de l'herbe.
En Europe, les ornithologues assistent depuis la fin du XXème siècle à un net changement de comportement, de démographie, de dynamique des populations, d'habitats et répartition spatiale chez cette espèce. En Europe de l'Ouest, et notamment en France, elle tend à fortement régresser dans les campagnes et à devenir plus urbaine et péri-urbaine. Cela modifie l'écologie de l'espèce via les phénomènes de compétition, prédation, ressources alimentaires, piégeage qui la concernent, en suscitant des controverses sur le statut à accorder à l'espèce en ville. Dans le cadre de l'écologie urbaine ou dans les milieux ruraux où elle est encore fréquemment piégée et tuée, l’impact écologique de la pie n’a jamais été prouvé sérieusement bien qu’il soit la principale justification du contrôle des populations... C'est une espèce qui fait preuve de capacités d'adaptation à l'anthropisation des paysages, mais non au piégeage (F. Chiron a « montré que la régulation en France était une cause majeure du déclin des effectifs »).
Comme d'autres corvidés, la pie bavarde, de nature grégaire (en particulier l'hiver), est une espèce bruyante et peu farouche qui aime à vivre dans le voisinage de l'homme et semble apprécier de plus en plus, nicher près des habitations et dans les espaces verts où elle atteint ses plus fortes densités. Elle semble y trouver des habitats ouverts et faciles à prospecter (pour la nourriture) et peut-être une protection contre les rapaces et autres prédateurs.
Si elle sait être méfiante et discrète en cas de danger, c'est également un oiseau extrêmement curieux et attiré par les objets brillants ; ce comportement est sans doute à l'origine de sa réputation de voleuse. Le cerveau des oiseaux commence à être mieux compris, et ses performances réévaluées. La pie bavarde est dotée d'un cerveau proportionnellement plus important que celui de beaucoup d'autres oiseaux. C'est un oiseau qui mémorise bien son environnement et les endroits où il peut trouver à manger, y compris dans des cachettes où il a pu accumuler de la nourriture. C'est l'un des oiseaux les plus intelligents : l'individu de l'espèce, à l'instar du corbeau, possède une capacité d'apprentissage qui en fait un oiseau capable de s'adapter à de nombreux changements de l'environnement. Il est ainsi capable de stratégie de groupe (face à un prédateur tel que le chat) et est le premier des oiseaux à avoir été (pour certains spécimens) capable d'avoir conscience de se voir dans un miroir, dans le fameux « test du miroir » pratiqué par les éthologues et réputé démontrer une conscience de soi (comme c'est le cas pour l'homme, le chimpanzé, le gorille, l'orang-outan, le chimpanzé pygmée, le dauphin ou l'éléphant). La pie peut avertir ses congénères d'un danger et peut apprendre à ses petits une partie de ce qu'elle a appris elle-même et peut faire preuve d'empathie. Des pies ont même été observées en train d'organiser des funérailles. Les pies se sont tenues près du cadavre et lui ont même apporté de l'herbe.
Dormance
Il est l'une des principales essences forestières constitutives des forêts tempérées caducifoliées d'Europe où on peut le trouver en peuplements exclusifs de hêtraies pures ou le plus souvent associé à d'autres espèces majeures dans des forêts feuillues, principalement avec le Chêne rouvre, ou dans des forêts mixtes avec le sapin blanc ou l'Épicéa commun.
C'est une essence bioindicatrice d'un climat tempéré humide. Les forestiers en pratiquent de longue date la sylviculture pour produire du bois de futaie principalement destiné à l'ameublement. Il est également utilisé comme source de bois de chauffage, surtout en zone de montagne.
Bouvreuil pivoine
Le Bouvreuil pivoine (Pyrrhula pyrrhula) est une espèce de passereaux d'Eurasie appartenant à la famille des Fringillidae.
Le Bouvreuil pivoine se nourrit presque exclusivement de graines et de bourgeons. Il trouve principalement sa subsistance sur les arbres, dont il pioche les semences, notamment les bouleaux, charmes, aulnes, lilas communs, érables, sorbiers et frênes. Il se nourrit aussi des graines des résineux, dont il parvient aisément à décortiquer les cônes, et des herbes folles : armoise, orties, séneçon, pissenlit..., ainsi que de celles contenues dans les baies sauvages. Les bourgeons qu'il consomme sont en priorité ceux des arbres fruitiers.
Le bouvreuil se nourrit souvent en couple ou en petit groupe, à la lisière d'un bois ou d'une haie. Il disparaît rapidement si on l'approche. Visiteur régulier des petits jardins, surtout dans les régions riches en vergers, il reste très discret, à l'abri de la végétation.
En hiver, il mange les fruits secs et charnus des sureaux, églantiers, sorbiers et autres plantes ligneuses qui l'attirent dans les parcs. Avec son bec puissant, il ouvre l'enveloppe des graines et avale leur contenu. À la fin de l'hiver, lorsque les fruits se font plus rares, il se tourne vers les bourgeons des arbres à feuillage caduc.
En été, il chasse les petits insectes, essentiels pour l'alimentation des oisillons.
Le Bouvreuil pivoine se nourrit presque exclusivement de graines et de bourgeons. Il trouve principalement sa subsistance sur les arbres, dont il pioche les semences, notamment les bouleaux, charmes, aulnes, lilas communs, érables, sorbiers et frênes. Il se nourrit aussi des graines des résineux, dont il parvient aisément à décortiquer les cônes, et des herbes folles : armoise, orties, séneçon, pissenlit..., ainsi que de celles contenues dans les baies sauvages. Les bourgeons qu'il consomme sont en priorité ceux des arbres fruitiers.
Le bouvreuil se nourrit souvent en couple ou en petit groupe, à la lisière d'un bois ou d'une haie. Il disparaît rapidement si on l'approche. Visiteur régulier des petits jardins, surtout dans les régions riches en vergers, il reste très discret, à l'abri de la végétation.
En hiver, il mange les fruits secs et charnus des sureaux, églantiers, sorbiers et autres plantes ligneuses qui l'attirent dans les parcs. Avec son bec puissant, il ouvre l'enveloppe des graines et avale leur contenu. À la fin de l'hiver, lorsque les fruits se font plus rares, il se tourne vers les bourgeons des arbres à feuillage caduc.
En été, il chasse les petits insectes, essentiels pour l'alimentation des oisillons.
Rêverie
Instant choisi.
Tant d'images demeurent longtemps des rêveries, jusqu'à ce que pour un instant tout se lie pour que certaines d'entre-elles puissent être saisies !
Cache Cache
Brumes et brouillards créent des scènes assez magiques, rares dans cette partie des Alpes ou sécheresse, soleil et vent ont tendance à dominer et assécher l'atmosphère.
Cormorans huppés de méditerranée
Le Cormoran huppé (Gulosus aristotelis) est une espèce d'oiseaux de mer appartenant à la famille des Phalacrocoracidae. Il est le seul représentant du genre Gulosus. C'est une espèce strictement maritime dont l'aire de répartition est cantonnée à la rive est de l'Atlantique nord et à la Méditerranée.
Trois sous-espèces de cormoran huppé sont reconnues:
- Le Cormoran huppé atlantique (Gulosus a. aristotelis) occupe le nord de l'aire de répartition, depuis l'Islande et le nord de la Scandinavie jusqu'aux côtes atlantiques de la péninsule Ibérique. Dans cet ensemble, il n'habite guère que les rivages les plus océaniques, évitant totalement la mer Baltique et la quasi-totalité de la Mer du Nord.
- Le Cormoran huppé méditerranéen, ou cormoran huppé de Desmarest (Gulosus a. desmarestii), occupe la Méditerranée, de façon morcelée depuis les côtes orientales de l'Espagne jusqu'à la Mer Noire. Les juvéniles de cette sous-espèce ont un ventre très clair, presque blanc.
- Le Cormoran huppé marocain (Gulosus a. riggenbachi), peut-être confondu avec la sous-espèce méditerranéenne, est rare et localisé à la côte atlantique marocaine et aux îles Zaffarines.
Pie-grièche écorcheur
La Pie-grièche écorcheur (Lanius collurio) est une espèce de passereaux de la famille des Laniidae.
L'espèce tient son nom de sa technique de stockage de ses proies. Elle constitue des lardoirs en empalant ses proies sur les épines des buissons, sur des brindilles ou des objets fins et pointus y compris fabriqués par l'homme (fils barbelés), pour se faire apparemment des réserves de nourriture. Cette technique qui s'applique aux proies les plus grosses (grands insectes, petits lézards, petits mammifères) est en fait probablement induite par la difficulté d'ingestion de ces proies.
La Pie-grièche écorcheur est un oiseau facile à détecter sur le terrain car, malgré son caractère assez farouche, il n'hésite pas à se montrer en évidence sur un perchoir exposé (sommet d'un arbuste, piquet de clôture, fils aériens,...). Alertée, elle agite sa longue queue et pousse des cris d'inquiétude. Si elle se sent vraiment menacée, elle s'esquive et se cache alors au sein des buissons.
L'espèce tient son nom de sa technique de stockage de ses proies. Elle constitue des lardoirs en empalant ses proies sur les épines des buissons, sur des brindilles ou des objets fins et pointus y compris fabriqués par l'homme (fils barbelés), pour se faire apparemment des réserves de nourriture. Cette technique qui s'applique aux proies les plus grosses (grands insectes, petits lézards, petits mammifères) est en fait probablement induite par la difficulté d'ingestion de ces proies.
La Pie-grièche écorcheur est un oiseau facile à détecter sur le terrain car, malgré son caractère assez farouche, il n'hésite pas à se montrer en évidence sur un perchoir exposé (sommet d'un arbuste, piquet de clôture, fils aériens,...). Alertée, elle agite sa longue queue et pousse des cris d'inquiétude. Si elle se sent vraiment menacée, elle s'esquive et se cache alors au sein des buissons.
Mont Mounier
Emblématique sommet culminant à 2817 mètres sur la commune de Beuil - Alpes-Maritimes.
Ombres et Lumières
Image très inspirante dans mes travaux photographiques. J'avais eu le plaisir de la présenter à Beuil en 2020 pour l'exposition du même titre...
Linotte mélodieuse
La Linotte mélodieuse (Linaria cannabina) est un petit fringille dont le mâle nuptial est facile à identifier par le plumage. Au fur et à mesure que le printemps s'avance, le plumage s'use, laissant apparaître les couleurs vives sous-jacentes, tout spécialement le rouge écarlate du front et de la poitrine.
Souvent, le rouge de la poitrine est scindé en deux en son milieu par une bande pâle qui rejoint le ventre blanc. La tête est grise avec des zones blanchâtres autour de l'œil sombre, au niveau des lores et sur les côtés de la gorge. Parfois s'ébauche un sourcil pâle. Une tache malaire plus grise est visible sous l'œil. Les parties supérieures (corps et couvertures alaires) sont d'un châtain clair chaud. Les rémiges primaires et les rectrices sont très marquées de blanc, ce qui se voit bien déjà sur l'oiseau posé, mais devient évident en vol. Les flancs sont roussâtres et les sous-caudales blanches. Le dessous des ailes et de la queue est blanc. Le bec est gris. Les pattes sont rougeâtres à brunâtres.
La femelle adulte ressemble au mâle, mais en plus terne, sans couleur rouge. Son plumage est nettement strié dessus (manteau et couvertures) et dessous (poitrine et flancs). On retrouve le gris au niveau de la tête avec le même patron, mais la calotte est striée.
Le juvénile ressemble à la femelle, mais il paraît globalement plus roux et est encore plus strié. Sa tête n'est pas grise mais brune et les zones pâles sont roussâtres.
Souvent, le rouge de la poitrine est scindé en deux en son milieu par une bande pâle qui rejoint le ventre blanc. La tête est grise avec des zones blanchâtres autour de l'œil sombre, au niveau des lores et sur les côtés de la gorge. Parfois s'ébauche un sourcil pâle. Une tache malaire plus grise est visible sous l'œil. Les parties supérieures (corps et couvertures alaires) sont d'un châtain clair chaud. Les rémiges primaires et les rectrices sont très marquées de blanc, ce qui se voit bien déjà sur l'oiseau posé, mais devient évident en vol. Les flancs sont roussâtres et les sous-caudales blanches. Le dessous des ailes et de la queue est blanc. Le bec est gris. Les pattes sont rougeâtres à brunâtres.
La femelle adulte ressemble au mâle, mais en plus terne, sans couleur rouge. Son plumage est nettement strié dessus (manteau et couvertures) et dessous (poitrine et flancs). On retrouve le gris au niveau de la tête avec le même patron, mais la calotte est striée.
Le juvénile ressemble à la femelle, mais il paraît globalement plus roux et est encore plus strié. Sa tête n'est pas grise mais brune et les zones pâles sont roussâtres.
Bruant jaune
Le Bruant jaune (Emberiza citrinella) est une petite espèce de passereaux appartenant à la famille des Emberizidae.
Il est majoritairement sédentaire ; seules les populations les plus au nord migrent pour l'hiver. Sa migration débute entre septembre et novembre. Il hiverne dans le nord de l'Espagne, les côtes de l'Italie, dans les Balkans et en Turquie pour les populations de l'ouest, et vers la Transcaucasie, l'Iran ou le sud du Kazakhstan pour les populations orientales.
Le Bruant jaune peuple les milieux ouverts comportant des buissons et des haies, les landes et les pentes montagneuses riches en insectes et habitats variés. Hors de la période de reproduction, il fréquente essentiellement les terres agricoles.
L'homogénéisation et la simplification des paysages par les modifications des pratiques agricoles et le développement de l'usage des insecticides (en particulier les pulvérisations d'insecticides à large spectre en période de reproduction) semblent être les principales causes de sa régression. Plus l'agriculture est intensive et utilise de pesticides, moins les jeunes sont correctement nourris; ceux qui survivent sont en moins bonne condition physique. Divers parasites, bactéries, virus peuvent alors les affecter.
Il est majoritairement sédentaire ; seules les populations les plus au nord migrent pour l'hiver. Sa migration débute entre septembre et novembre. Il hiverne dans le nord de l'Espagne, les côtes de l'Italie, dans les Balkans et en Turquie pour les populations de l'ouest, et vers la Transcaucasie, l'Iran ou le sud du Kazakhstan pour les populations orientales.
Le Bruant jaune peuple les milieux ouverts comportant des buissons et des haies, les landes et les pentes montagneuses riches en insectes et habitats variés. Hors de la période de reproduction, il fréquente essentiellement les terres agricoles.
L'homogénéisation et la simplification des paysages par les modifications des pratiques agricoles et le développement de l'usage des insecticides (en particulier les pulvérisations d'insecticides à large spectre en période de reproduction) semblent être les principales causes de sa régression. Plus l'agriculture est intensive et utilise de pesticides, moins les jeunes sont correctement nourris; ceux qui survivent sont en moins bonne condition physique. Divers parasites, bactéries, virus peuvent alors les affecter.
Gros-bec casse-noyaux
Le Gros-bec casse-noyaux (Coccothraustes coccothraustes) est une belle espèce de passereaux de la famille des Fringillidae. Il est partiellement migrateur.
C'est l'espèce la plus grande de la famille des fringillidés et la seule du genre Coccothraustes. Il est apparenté à certains gros-becs, actuellement classés dans des genres différents.
Le Gros-bec casse-noyaux est avant tout un oiseau forestier. Dans l'ouest de son aire, il apprécie surtout les forêts de feuillus, tout particulièrement les chênaies, tandis qu'à l'est, il fréquente aussi bien les forêts mixtes que les forêts de conifères comme les pinèdes ou les junipéraies. En revanche, il n'occupe pas la taïga nordique. De ce milieu forestier d'origine il peut déborder à la faveur des parcs et jardins, vergers et autres milieux arborés anthropisés.
Sa présence et son abondance sont déterminées par l'abondance des graines dont il se nourrit majoritairement, d'où une variabilité interannuelle qui peut être importante. D'une saison à l'autre, il peut aussi y avoir des changements d'habitat avec des déplacements conséquents.
C'est l'espèce la plus grande de la famille des fringillidés et la seule du genre Coccothraustes. Il est apparenté à certains gros-becs, actuellement classés dans des genres différents.
Le Gros-bec casse-noyaux est avant tout un oiseau forestier. Dans l'ouest de son aire, il apprécie surtout les forêts de feuillus, tout particulièrement les chênaies, tandis qu'à l'est, il fréquente aussi bien les forêts mixtes que les forêts de conifères comme les pinèdes ou les junipéraies. En revanche, il n'occupe pas la taïga nordique. De ce milieu forestier d'origine il peut déborder à la faveur des parcs et jardins, vergers et autres milieux arborés anthropisés.
Sa présence et son abondance sont déterminées par l'abondance des graines dont il se nourrit majoritairement, d'où une variabilité interannuelle qui peut être importante. D'une saison à l'autre, il peut aussi y avoir des changements d'habitat avec des déplacements conséquents.