Galerie Photographique
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(Janvier 2023)
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Changement de saison qui affirme et souligne le caractère des sommets. Avec les premières neiges la montagne révèle toute sa splendeur.
Bec-croisé des sapins
Le Bec-croisé des sapins (Loxia curvirostra) (autrefois connu sous le nom de Bec-croisé rouge) est une espèce de passereaux appartenant à la famille des Fringillidae.
Son nom vient de la forme de son bec, dont les deux mandibules se croisent pour faciliter l'extraction des graines.
Le bec-croisé des sapins est l’oiseau typique des forêts de conifères jusqu’à 3 000 m d’altitude, à travers sa vaste répartition dans le nord de l’Europe, de l’Asie et de l’Amérique du Nord.
C’est le plus commun et le plus largement répandu des becs-croisés. Il fréquente les épicéas (Picea), les sapins (Abies), les pins (Pinus) et les mélèzes (Larix), mais il visite aussi les forêts mixtes et les bois d’aulnes, de bouleaux et de hêtres. Il s’agit donc d’un oiseau essentiellement forestier, mais il ne dédaigne pas s’approprier un bosquet d’épicéas ou de pins à proximité des habitations, dans des jardins ou dans des parcs d’ornement au cœur même des villes, mais plutôt en période automnale et hivernale ou lors d’irruptions.
Son nom vient de la forme de son bec, dont les deux mandibules se croisent pour faciliter l'extraction des graines.
Le bec-croisé des sapins est l’oiseau typique des forêts de conifères jusqu’à 3 000 m d’altitude, à travers sa vaste répartition dans le nord de l’Europe, de l’Asie et de l’Amérique du Nord.
C’est le plus commun et le plus largement répandu des becs-croisés. Il fréquente les épicéas (Picea), les sapins (Abies), les pins (Pinus) et les mélèzes (Larix), mais il visite aussi les forêts mixtes et les bois d’aulnes, de bouleaux et de hêtres. Il s’agit donc d’un oiseau essentiellement forestier, mais il ne dédaigne pas s’approprier un bosquet d’épicéas ou de pins à proximité des habitations, dans des jardins ou dans des parcs d’ornement au cœur même des villes, mais plutôt en période automnale et hivernale ou lors d’irruptions.
Sittelle torchepot
La Sittelle torchepot (Sitta europaea) est un passereau essentiellement forestier mais qui se rencontre dans les parcs et jardins de nos régions, plus particulièrement sur les vieux arbres sur lesquels elle circule en tous sens sur les grosses branches et les troncs.
Elle est sans cesse en mouvement. Très agile et active, elle peut descendre le long d'un tronc d'arbre la tête en bas : aucun autre oiseau européen ne peut faire cela. Ses qualités de grimpeuse sont hors du commun la mettant parfois en situation acrobatique.
La sittelle est un oiseau de nature solitaire, qui se déplace en couple mais jamais en groupe.
Elle est sans cesse en mouvement. Très agile et active, elle peut descendre le long d'un tronc d'arbre la tête en bas : aucun autre oiseau européen ne peut faire cela. Ses qualités de grimpeuse sont hors du commun la mettant parfois en situation acrobatique.
La sittelle est un oiseau de nature solitaire, qui se déplace en couple mais jamais en groupe.
Fauvette à tête noire
La Fauvette à tête noire (Sylvia atricapilla) est une espèce de passereaux de la famille des Sylviidae dont elle est l'espèce type.
Migratrice partielle, elle hiverne en Afrique tropicale, mais aussi en Europe, où elle est parfois sédentaire.
Elle ne doit pas être confondue avec la fauvette mélanocéphale (Sylvia melanocephala) ou encore la mésange nonnette (Poecile palustris) ou boréale (Poecile montanus). Pour éviter les confusions, il faut bien noter que la calotte de la fauvette à tête noire s'arrête au-dessus des yeux et qu'elle n'a pas de bavette.
La Fauvette à tête noire est en expansion en France : entre 2001 et 2021, ses effectifs ont augmenté de 30 %.
Migratrice partielle, elle hiverne en Afrique tropicale, mais aussi en Europe, où elle est parfois sédentaire.
Elle ne doit pas être confondue avec la fauvette mélanocéphale (Sylvia melanocephala) ou encore la mésange nonnette (Poecile palustris) ou boréale (Poecile montanus). Pour éviter les confusions, il faut bien noter que la calotte de la fauvette à tête noire s'arrête au-dessus des yeux et qu'elle n'a pas de bavette.
La Fauvette à tête noire est en expansion en France : entre 2001 et 2021, ses effectifs ont augmenté de 30 %.
Grive musicienne
La Grive musicienne (Turdus philomelos) est une espèce de passereaux de la famille des Turdidés.
L'identification de la Grive musicienne peut être faite en regardant le dessous de l'aile lorsqu'elle est en vol ; dans le cas de la Grive musicienne cette zone est orangée alors que dans le cas de la Grive mauvis, elle est rouge ; dans le cas de la Grive draine et de la Grive litorne la zone est blanche.
La Grive musicienne est une espèce commune. Cependant, c'est un oiseau discret et furtif, très craintif la plupart du temps. Son observation rapprochée n'est pas facile car elle fuit à la moindre alerte. L'espèce n'est pas vraiment grégaire comme peuvent l'être la litorne ou la mauvis. On peut tout de même l'observer, au plus fort de la migration, en petits groupes lâches pouvant compter quelques dizaines d'individus, particulièrement lorsque les conditions climatiques provoquent un blocage de la migration.
Elle recherche sa nourriture au sol où elle progresse par petits bonds. En cas de danger, elle file se réfugier au vol dans les ligneux où elle peut rester longuement immobile en attendant le retour au calme. En intersaison, elle recherche les fruits dans les buissons et les haies. Elle s'est fait une spécialité des petits escargots comme les Escargots des haies qu'elle extrait de leur coquille d'une manière qui lui est propre. Tenant le mollusque du bec, elle le frappe violemment contre une pierre ou un autre substrat solide formant enclume jusqu'à ce qu'il soit débarrassé de sa coquille, puis le consomme. Ces endroits sont régulièrement fréquentés tout au long de la belle saison. C'est pourquoi il est fréquent dans la nature d'observer ces petits tas de débris de coquilles signant sa présence.
L'identification de la Grive musicienne peut être faite en regardant le dessous de l'aile lorsqu'elle est en vol ; dans le cas de la Grive musicienne cette zone est orangée alors que dans le cas de la Grive mauvis, elle est rouge ; dans le cas de la Grive draine et de la Grive litorne la zone est blanche.
La Grive musicienne est une espèce commune. Cependant, c'est un oiseau discret et furtif, très craintif la plupart du temps. Son observation rapprochée n'est pas facile car elle fuit à la moindre alerte. L'espèce n'est pas vraiment grégaire comme peuvent l'être la litorne ou la mauvis. On peut tout de même l'observer, au plus fort de la migration, en petits groupes lâches pouvant compter quelques dizaines d'individus, particulièrement lorsque les conditions climatiques provoquent un blocage de la migration.
Elle recherche sa nourriture au sol où elle progresse par petits bonds. En cas de danger, elle file se réfugier au vol dans les ligneux où elle peut rester longuement immobile en attendant le retour au calme. En intersaison, elle recherche les fruits dans les buissons et les haies. Elle s'est fait une spécialité des petits escargots comme les Escargots des haies qu'elle extrait de leur coquille d'une manière qui lui est propre. Tenant le mollusque du bec, elle le frappe violemment contre une pierre ou un autre substrat solide formant enclume jusqu'à ce qu'il soit débarrassé de sa coquille, puis le consomme. Ces endroits sont régulièrement fréquentés tout au long de la belle saison. C'est pourquoi il est fréquent dans la nature d'observer ces petits tas de débris de coquilles signant sa présence.
Mésange huppée
La Mésange huppée (Lophophanes cristatus, anciennement Parus cristatus) est une espèce de passereaux de la famille des Paridés.
Comme toutes les vraies mésanges, la mésange huppée est monogame et cavernicole (c'est-à-dire qu'elle construit son nid dans une cavité). Souvent, elle fait son nid dans le bois pourri d'un arbre malade ou mort ou dans un ancien gîte d'écureuil ou de pics. Le fond du nid est aménagé avec des végétaux (brindilles, feuilles, mousse, herbes) et souvent avec des plumes ou des poils.
Durant la période des amours au printemps, le mâle redresse sa huppe et chante en inclinant sa tête. Une première couvée est pondue en avril, puis parfois une seconde en juin. Les couvées comptent de 7 à 10 œufs de 16 mm.
Cet oiseau est sédentaire. Il rejoint parfois d'autres petits groupes de mésanges en automne. Vivant plutôt en forêt, la mésange huppée se trouve rarement proche des habitations
Comme toutes les vraies mésanges, la mésange huppée est monogame et cavernicole (c'est-à-dire qu'elle construit son nid dans une cavité). Souvent, elle fait son nid dans le bois pourri d'un arbre malade ou mort ou dans un ancien gîte d'écureuil ou de pics. Le fond du nid est aménagé avec des végétaux (brindilles, feuilles, mousse, herbes) et souvent avec des plumes ou des poils.
Durant la période des amours au printemps, le mâle redresse sa huppe et chante en inclinant sa tête. Une première couvée est pondue en avril, puis parfois une seconde en juin. Les couvées comptent de 7 à 10 œufs de 16 mm.
Cet oiseau est sédentaire. Il rejoint parfois d'autres petits groupes de mésanges en automne. Vivant plutôt en forêt, la mésange huppée se trouve rarement proche des habitations
Féérie matinale
Dans ma passion pour la photographie j'avoue toujours avoir l'envie de découvrir ce que dame nature voudra bien me réserver après m'être encore très tôt réveillé 😉
Rougequeue à front blanc
Le Rougequeue à front blanc (Phoenicurus phoenicurus), dit aussi Rossignol de muraille, est une espèce de passereaux de la famille des Muscicapidae.
La présence du rougequeue à front blanc sur l’ensemble du territoire français est attestée depuis le XIXème siècle.
Il est inféodé à l’arbre ; il se rencontre dans une grande variété de milieux boisés ou plantés d’arbres. Il affectionne les feuillus mais apprécie également les forêts de pins maritimes. Le rougequeue à front blanc niche en cavité, il a donc besoin de vieux arbres ou de nichoirs artificiels pour sa reproduction ; il niche également dans les cavités des murs, dans d'anciens nids ouverts sur le haut d'hirondelle ou de martinet.
La présence du rougequeue à front blanc sur l’ensemble du territoire français est attestée depuis le XIXème siècle.
Il est inféodé à l’arbre ; il se rencontre dans une grande variété de milieux boisés ou plantés d’arbres. Il affectionne les feuillus mais apprécie également les forêts de pins maritimes. Le rougequeue à front blanc niche en cavité, il a donc besoin de vieux arbres ou de nichoirs artificiels pour sa reproduction ; il niche également dans les cavités des murs, dans d'anciens nids ouverts sur le haut d'hirondelle ou de martinet.
Cerf et Démant
Magnifique soirée au cours de laquelle mes souhaits ont été exhaussés ! Mettre dans ce décor un si beau sujet 😉
Gros-bec casse-noyaux
Le Gros-bec casse-noyaux (Coccothraustes coccothraustes) est une belle espèce de passereaux de la famille des Fringillidae. Il est partiellement migrateur.
C'est l'espèce la plus grande de la famille des fringillidés et la seule du genre Coccothraustes. Il est apparenté à certains gros-becs, actuellement classés dans des genres différents.
Le Gros-bec casse-noyaux est avant tout un oiseau forestier. Dans l'ouest de son aire, il apprécie surtout les forêts de feuillus, tout particulièrement les chênaies, tandis qu'à l'est, il fréquente aussi bien les forêts mixtes que les forêts de conifères comme les pinèdes ou les junipéraies. En revanche, il n'occupe pas la taïga nordique. De ce milieu forestier d'origine il peut déborder à la faveur des parcs et jardins, vergers et autres milieux arborés anthropisés.
Sa présence et son abondance sont déterminées par l'abondance des graines dont il se nourrit majoritairement, d'où une variabilité interannuelle qui peut être importante. D'une saison à l'autre, il peut aussi y avoir des changements d'habitat avec des déplacements conséquents.
C'est l'espèce la plus grande de la famille des fringillidés et la seule du genre Coccothraustes. Il est apparenté à certains gros-becs, actuellement classés dans des genres différents.
Le Gros-bec casse-noyaux est avant tout un oiseau forestier. Dans l'ouest de son aire, il apprécie surtout les forêts de feuillus, tout particulièrement les chênaies, tandis qu'à l'est, il fréquente aussi bien les forêts mixtes que les forêts de conifères comme les pinèdes ou les junipéraies. En revanche, il n'occupe pas la taïga nordique. De ce milieu forestier d'origine il peut déborder à la faveur des parcs et jardins, vergers et autres milieux arborés anthropisés.
Sa présence et son abondance sont déterminées par l'abondance des graines dont il se nourrit majoritairement, d'où une variabilité interannuelle qui peut être importante. D'une saison à l'autre, il peut aussi y avoir des changements d'habitat avec des déplacements conséquents.
Magie réintroduite
Les vautours (ici un vautour fauve) ont longtemps trainé derrière eux de vieilles croyances erronées, peurs et diabolisations historiques.
Ils ont avec chance été réintroduits avec succès et sont un maillon indispensable pour la bonne santé de nos écosystèmes.
Fauvette mélanocéphale
La Fauvette mélanocéphale (Curruca melanocephala) est une espèce de passereaux appartenant à la famille des Sylviidae. Elle ne doit pas être confondue avec la fauvette à tête noire (Sylvia atricapilla).
La Fauvette mélanocéphale est une espèce relativement discrète et assez compliquée à observer. Elle aime bien se cacher et fait souvent preuve d'une certaine hardiesse et de curiosité. Fréquemment, elle émerge du couvert et se perche furtivement au sommet des buissons pour observer, remuant la queue et hérissant les plumes de son capuchon. Puis, elle plonge rapidement pour retrouver l'abri de la végétation.
Cet oiseau est répandu à travers le bassin méditerranéen, et est une des fauvettes qui y est le plus répandu.
La Fauvette mélanocéphale est une espèce relativement discrète et assez compliquée à observer. Elle aime bien se cacher et fait souvent preuve d'une certaine hardiesse et de curiosité. Fréquemment, elle émerge du couvert et se perche furtivement au sommet des buissons pour observer, remuant la queue et hérissant les plumes de son capuchon. Puis, elle plonge rapidement pour retrouver l'abri de la végétation.
Cet oiseau est répandu à travers le bassin méditerranéen, et est une des fauvettes qui y est le plus répandu.

