Galerie Photographique
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Nombreux ajouts
(Janvier 2023)
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Fauvette mélanocéphale
La Fauvette mélanocéphale (Curruca melanocephala) est une espèce de passereaux appartenant à la famille des Sylviidae. Elle ne doit pas être confondue avec la fauvette à tête noire (Sylvia atricapilla).
La Fauvette mélanocéphale est une espèce relativement discrète et assez compliquée à observer. Elle aime bien se cacher et fait souvent preuve d'une certaine hardiesse et de curiosité. Fréquemment, elle émerge du couvert et se perche furtivement au sommet des buissons pour observer, remuant la queue et hérissant les plumes de son capuchon. Puis, elle plonge rapidement pour retrouver l'abri de la végétation.
Cet oiseau est répandu à travers le bassin méditerranéen, et est une des fauvettes qui y est le plus répandu.
La Fauvette mélanocéphale est une espèce relativement discrète et assez compliquée à observer. Elle aime bien se cacher et fait souvent preuve d'une certaine hardiesse et de curiosité. Fréquemment, elle émerge du couvert et se perche furtivement au sommet des buissons pour observer, remuant la queue et hérissant les plumes de son capuchon. Puis, elle plonge rapidement pour retrouver l'abri de la végétation.
Cet oiseau est répandu à travers le bassin méditerranéen, et est une des fauvettes qui y est le plus répandu.
Duo de Vautours
Cette image permet de mettre en évidence la différence notoire de couleur de plumage entre le Vautour moine presque entièrement noir, au dessus d'un Vautour fauve, espèce nommée en référence à sa couleur dominante.
Vous pourrez noter également l'envergure très légèrement plus importante pour le moine...
Forêt Biélorusse
Univers de mousses, ces sous-bois dégagent une atmosphère envoutante dans laquelle j'ai pris un fameux plaisir à pister les loups avec mon cher ami Fabien Bruggmann...
Accenteur alpin
L'Accenteur alpin (Prunella collaris) est une espèce d'oiseaux de la famille des Prunellidae.
C'est une espèce typique des hautes montagnes. Il vit au-dessus de la limite des arbres dans les alpages. On le trouve typiquement entre 1800 et 4000 mètres. En accord avec l'abondance des chutes de neige, il peut descendre dans les vallées en hiver.
Cet oiseau est majoritairement insectivore, notamment au printemps et en été où il profite d'une abondance de proies. Celles-ci comprennent les insectes, mais aussi de nombreux types d'invertébrés, incluant les vers de terre, les araignées et des petits mollusques. Lorsque les quantités de proies diminuent, il devient granivore.
C'est une espèce typique des hautes montagnes. Il vit au-dessus de la limite des arbres dans les alpages. On le trouve typiquement entre 1800 et 4000 mètres. En accord avec l'abondance des chutes de neige, il peut descendre dans les vallées en hiver.
Cet oiseau est majoritairement insectivore, notamment au printemps et en été où il profite d'une abondance de proies. Celles-ci comprennent les insectes, mais aussi de nombreux types d'invertébrés, incluant les vers de terre, les araignées et des petits mollusques. Lorsque les quantités de proies diminuent, il devient granivore.
Grive musicienne
La Grive musicienne (Turdus philomelos) est une espèce de passereaux de la famille des Turdidés.
L'identification de la Grive musicienne peut être faite en regardant le dessous de l'aile lorsqu'elle est en vol ; dans le cas de la Grive musicienne cette zone est orangée alors que dans le cas de la Grive mauvis, elle est rouge ; dans le cas de la Grive draine et de la Grive litorne la zone est blanche.
La Grive musicienne est une espèce commune. Cependant, c'est un oiseau discret et furtif, très craintif la plupart du temps. Son observation rapprochée n'est pas facile car elle fuit à la moindre alerte. L'espèce n'est pas vraiment grégaire comme peuvent l'être la litorne ou la mauvis. On peut tout de même l'observer, au plus fort de la migration, en petits groupes lâches pouvant compter quelques dizaines d'individus, particulièrement lorsque les conditions climatiques provoquent un blocage de la migration.
Elle recherche sa nourriture au sol où elle progresse par petits bonds. En cas de danger, elle file se réfugier au vol dans les ligneux où elle peut rester longuement immobile en attendant le retour au calme. En intersaison, elle recherche les fruits dans les buissons et les haies. Elle s'est fait une spécialité des petits escargots comme les Escargots des haies qu'elle extrait de leur coquille d'une manière qui lui est propre. Tenant le mollusque du bec, elle le frappe violemment contre une pierre ou un autre substrat solide formant enclume jusqu'à ce qu'il soit débarrassé de sa coquille, puis le consomme. Ces endroits sont régulièrement fréquentés tout au long de la belle saison. C'est pourquoi il est fréquent dans la nature d'observer ces petits tas de débris de coquilles signant sa présence.
L'identification de la Grive musicienne peut être faite en regardant le dessous de l'aile lorsqu'elle est en vol ; dans le cas de la Grive musicienne cette zone est orangée alors que dans le cas de la Grive mauvis, elle est rouge ; dans le cas de la Grive draine et de la Grive litorne la zone est blanche.
La Grive musicienne est une espèce commune. Cependant, c'est un oiseau discret et furtif, très craintif la plupart du temps. Son observation rapprochée n'est pas facile car elle fuit à la moindre alerte. L'espèce n'est pas vraiment grégaire comme peuvent l'être la litorne ou la mauvis. On peut tout de même l'observer, au plus fort de la migration, en petits groupes lâches pouvant compter quelques dizaines d'individus, particulièrement lorsque les conditions climatiques provoquent un blocage de la migration.
Elle recherche sa nourriture au sol où elle progresse par petits bonds. En cas de danger, elle file se réfugier au vol dans les ligneux où elle peut rester longuement immobile en attendant le retour au calme. En intersaison, elle recherche les fruits dans les buissons et les haies. Elle s'est fait une spécialité des petits escargots comme les Escargots des haies qu'elle extrait de leur coquille d'une manière qui lui est propre. Tenant le mollusque du bec, elle le frappe violemment contre une pierre ou un autre substrat solide formant enclume jusqu'à ce qu'il soit débarrassé de sa coquille, puis le consomme. Ces endroits sont régulièrement fréquentés tout au long de la belle saison. C'est pourquoi il est fréquent dans la nature d'observer ces petits tas de débris de coquilles signant sa présence.
Tichodrome échelette
Tichodroma muraria - Seul représentant de sa Famille des Tichodromidés.
Petit oiseau montagnard, habitant des gorges, des falaises et parois escarpées. Ses larges ailes arrondies et son vol saccadé on forcé le surnom d'Oiseau Papillon.
Il possède de grandes taches rouge-carmin et de gros points blancs. Dessus gris. Menton, gorge et poitrine noirs en été et blanchâtres en hiver. Long bec fin et légèrement courbe. Queue gris-noir tachetée de blanc.
Petit oiseau montagnard, habitant des gorges, des falaises et parois escarpées. Ses larges ailes arrondies et son vol saccadé on forcé le surnom d'Oiseau Papillon.
Il possède de grandes taches rouge-carmin et de gros points blancs. Dessus gris. Menton, gorge et poitrine noirs en été et blanchâtres en hiver. Long bec fin et légèrement courbe. Queue gris-noir tachetée de blanc.
Circaète Jean-le-Blanc
Jeune prêt à l'envol. Image réalisée dans des conditions optimales préservant la quiétude et le succès de la reproduction...
Grand corbeau
Le Grand corbeau (Corvus corax) est une espèce d'oiseaux de la famille des corvidés.
Il est le plus grand oiseau de l'ordre des passeriformes.
Le Grand Corbeau est le plus grand passereau au monde. Pour prendre une comparaison, il est plus grand et plus lourd qu'une Buse variable et a une envergure supérieure. Il est donc nettement plus grand que le Corbeau freux ou la Corneille noire auxquels il ressemble superficiellement.
Présent dans tout l'hémisphère nord, c’est l’espèce de corvidé dont l’aire de répartition est la plus étendue. Les grands corbeaux vivent généralement de 10 à 15 ans mais certains individus ont vécu 40 ans.
Le grand corbeau est omnivore et opportuniste : son régime alimentaire varie selon le lieu, la saison et ce qu'il trouve par hasard. Par exemple, le régime alimentaire des grands corbeaux nichant près des décharges présente un pourcentage plus élevé de déchets, ceux nichant près des routes consomment plus de vertébrés victimes de collisions et ceux nichant loin de ces sources de nourriture consomment plus d'arthropodes et de plantes.
En certains endroits, ils sont majoritairement nécrophages, se nourrissant de carcasses et des asticots et silphidés associés. Par exemple, dans la toundra du versant nord de l'Alaska, les corbeaux satisfont environ la moitié de leurs besoins énergétiques grâce à la prédation (surtout de petits rongeurs) et l’autre moitié provient de nécrophagie (surtout de carcasses de caribou et de lagopèdes).
Il est le plus grand oiseau de l'ordre des passeriformes.
Le Grand Corbeau est le plus grand passereau au monde. Pour prendre une comparaison, il est plus grand et plus lourd qu'une Buse variable et a une envergure supérieure. Il est donc nettement plus grand que le Corbeau freux ou la Corneille noire auxquels il ressemble superficiellement.
Présent dans tout l'hémisphère nord, c’est l’espèce de corvidé dont l’aire de répartition est la plus étendue. Les grands corbeaux vivent généralement de 10 à 15 ans mais certains individus ont vécu 40 ans.
Le grand corbeau est omnivore et opportuniste : son régime alimentaire varie selon le lieu, la saison et ce qu'il trouve par hasard. Par exemple, le régime alimentaire des grands corbeaux nichant près des décharges présente un pourcentage plus élevé de déchets, ceux nichant près des routes consomment plus de vertébrés victimes de collisions et ceux nichant loin de ces sources de nourriture consomment plus d'arthropodes et de plantes.
En certains endroits, ils sont majoritairement nécrophages, se nourrissant de carcasses et des asticots et silphidés associés. Par exemple, dans la toundra du versant nord de l'Alaska, les corbeaux satisfont environ la moitié de leurs besoins énergétiques grâce à la prédation (surtout de petits rongeurs) et l’autre moitié provient de nécrophagie (surtout de carcasses de caribou et de lagopèdes).
Pinson bleu
Le Pinson bleu (Fringilla teydea) est une espèce de pinsons endémique des îles Canaries.
La sous-espèce teydea vit à Tenerife et en tire son nom du point culminant, le stratovolcan Teide, et la sous-espèce polatzeki à Grande Canarie. Il est le symbole animal de l'île de Tenerife.
Avec une longueur de 16 à 18 cm, le pinson bleu est notablement plus grand que le pinson des arbres commun. Ainsi, son bec, sa tête et sa poitrine sont plus épais.
Comme son nom l'indique, le mâle possède un plumage bleu sur la tête et le haut du dos. La gorge, la poitrine et les flancs sont gris plomb plus clair. Les rectrices sous-caudales sont blanches. Son bec est noir.
Comme souvent, le plumage de la femelle est plus terne. La face supérieure en est gris-brun et la face inférieure gris-blanc.
Le pinson bleu habite les forêts de pins (Pinus canariensis) des îles Tenerife et Grande Canarie. Il vit entre 1200 et 2 000 m à Tenerife et de 700 à 1 200 m à Grande Canarie, dépassant rarement ces repères. À Tenerife, parmi ces pinèdes, on le trouve aussi dans les bruyères arborescentes (Erica arborea) et dans des lauriers (Laurus sp.).
Les pinsons bleus quittent occasionnellement cet habitat pour se nourrir au-dessus des pinèdes (2 200 m) ou, plus rarement (par mauvais temps) au-dessous (500 m), dans les jardins, les vergers et autres cultures. Il s’est également adapté à une autre espèce de pin, récemment introduite par l’homme : le pin rayonnant (Pinus radiata) dont les plantations visent à étoffer les massifs dégradés de pins canariens. Martín et al. (1980) ont montré qu’à Tenerife le pinson bleu privilégie nettement le sous-bois de genêt Chamaecytisus proliferus car il abrite des chenilles largement exploitées pour le nourrissage des jeunes.
La sous-espèce teydea vit à Tenerife et en tire son nom du point culminant, le stratovolcan Teide, et la sous-espèce polatzeki à Grande Canarie. Il est le symbole animal de l'île de Tenerife.
Avec une longueur de 16 à 18 cm, le pinson bleu est notablement plus grand que le pinson des arbres commun. Ainsi, son bec, sa tête et sa poitrine sont plus épais.
Comme son nom l'indique, le mâle possède un plumage bleu sur la tête et le haut du dos. La gorge, la poitrine et les flancs sont gris plomb plus clair. Les rectrices sous-caudales sont blanches. Son bec est noir.
Comme souvent, le plumage de la femelle est plus terne. La face supérieure en est gris-brun et la face inférieure gris-blanc.
Le pinson bleu habite les forêts de pins (Pinus canariensis) des îles Tenerife et Grande Canarie. Il vit entre 1200 et 2 000 m à Tenerife et de 700 à 1 200 m à Grande Canarie, dépassant rarement ces repères. À Tenerife, parmi ces pinèdes, on le trouve aussi dans les bruyères arborescentes (Erica arborea) et dans des lauriers (Laurus sp.).
Les pinsons bleus quittent occasionnellement cet habitat pour se nourrir au-dessus des pinèdes (2 200 m) ou, plus rarement (par mauvais temps) au-dessous (500 m), dans les jardins, les vergers et autres cultures. Il s’est également adapté à une autre espèce de pin, récemment introduite par l’homme : le pin rayonnant (Pinus radiata) dont les plantations visent à étoffer les massifs dégradés de pins canariens. Martín et al. (1980) ont montré qu’à Tenerife le pinson bleu privilégie nettement le sous-bois de genêt Chamaecytisus proliferus car il abrite des chenilles largement exploitées pour le nourrissage des jeunes.
Baguage & suivis
Alambic / référence Bague blanche DYJ patte Gauche / a été réintroduite dans les Baronnies en 2014. J'ai eu l'énorme privilège de constater ses ébats amoureux avec les premières tentatives de construction d'un nid dans les Gorges du Cians en 2019 avec Nestor. Lui a été relâché dans les Grands Causses en 2009. Ils ont élevé leur premier poussin en 2020.
Pie-grièche écorcheur
La Pie-grièche écorcheur (Lanius collurio) est une espèce de passereaux de la famille des Laniidae.
L'espèce tient son nom de sa technique de stockage de ses proies. Elle constitue des lardoirs en empalant ses proies sur les épines des buissons, sur des brindilles ou des objets fins et pointus y compris fabriqués par l'homme (fils barbelés), pour se faire apparemment des réserves de nourriture. Cette technique qui s'applique aux proies les plus grosses (grands insectes, petits lézards, petits mammifères) est en fait probablement induite par la difficulté d'ingestion de ces proies.
La Pie-grièche écorcheur est un oiseau facile à détecter sur le terrain car, malgré son caractère assez farouche, il n'hésite pas à se montrer en évidence sur un perchoir exposé (sommet d'un arbuste, piquet de clôture, fils aériens,...). Alertée, elle agite sa longue queue et pousse des cris d'inquiétude. Si elle se sent vraiment menacée, elle s'esquive et se cache alors au sein des buissons.
L'espèce tient son nom de sa technique de stockage de ses proies. Elle constitue des lardoirs en empalant ses proies sur les épines des buissons, sur des brindilles ou des objets fins et pointus y compris fabriqués par l'homme (fils barbelés), pour se faire apparemment des réserves de nourriture. Cette technique qui s'applique aux proies les plus grosses (grands insectes, petits lézards, petits mammifères) est en fait probablement induite par la difficulté d'ingestion de ces proies.
La Pie-grièche écorcheur est un oiseau facile à détecter sur le terrain car, malgré son caractère assez farouche, il n'hésite pas à se montrer en évidence sur un perchoir exposé (sommet d'un arbuste, piquet de clôture, fils aériens,...). Alertée, elle agite sa longue queue et pousse des cris d'inquiétude. Si elle se sent vraiment menacée, elle s'esquive et se cache alors au sein des buissons.
Rossignol philomèle
Le Rossignol philomèle (Luscinia megarhynchos) est une espèce d’oiseaux de la famille des Muscicapidae.
Il est connu pour son chant, qui est un des plus mélodieux mais aussi des plus complexes, on dit qu'il chante, gringotte, quiritte ou trille, de jour comme de nuit. Il a fasciné les chercheurs qui ont dénombré entre 120 et 260 séquences différentes, elles durent en général de 2 à 4 secondes.
Le jeune mâle apprend à chanter en écoutant les plus expérimentés et marque ainsi son territoire, ou tente de séduire les femelles. Dès qu'ils sont appariés, les mâles s'arrêtent généralement de chanter la nuit. Ceci laisse supposer que le célèbre chant nocturne sert avant tout à attirer les femelles.
Il est connu pour son chant, qui est un des plus mélodieux mais aussi des plus complexes, on dit qu'il chante, gringotte, quiritte ou trille, de jour comme de nuit. Il a fasciné les chercheurs qui ont dénombré entre 120 et 260 séquences différentes, elles durent en général de 2 à 4 secondes.
Le jeune mâle apprend à chanter en écoutant les plus expérimentés et marque ainsi son territoire, ou tente de séduire les femelles. Dès qu'ils sont appariés, les mâles s'arrêtent généralement de chanter la nuit. Ceci laisse supposer que le célèbre chant nocturne sert avant tout à attirer les femelles.
Troglodyte mignon
Le Troglodyte mignon (Troglodytes troglodytes) est une espèce de passereaux de la famille des Troglodytidae présente dans la quasi-totalité de l'Europe.
Le Troglodyte mignon est un des plus petits passereaux du vieux continent. Il mesure moins de 10 cm de longueur et ne pèse que 8 g environ. La longueur de sa main est inférieure à 5 cm.
Sa silhouette est très typique. Le corps rondelet porte une tête massive prolongée par un long bec fin et légèrement courbe. Une très courte queue (3,5 cm) est le plus souvent tenue relevée. Les ailes courtes et arrondies battent très rapidement. De fortes pattes roses, toutes proportions gardées, agrippent fermement le support.
Mâle et femelle sont identiques d'aspect. Le dessus est d'un brun assez chaud, nuancé par endroits de marron, particulièrement sur la queue et les sus-caudales. Un long sourcil clair surmonte l'œil sombre. Les rémiges et les rectrices apparaissent nettement barrées de brun sombre. Le dessous est beige-chamois avec les flancs eux aussi nettement barrés. Le juvénile ne se distingue des adultes que par des détails infimes de plumage invisibles sur le terrain. Aucune confusion avec une autre espèce n'est possible.
Le Troglodyte mignon est un des plus petits passereaux du vieux continent. Il mesure moins de 10 cm de longueur et ne pèse que 8 g environ. La longueur de sa main est inférieure à 5 cm.
Sa silhouette est très typique. Le corps rondelet porte une tête massive prolongée par un long bec fin et légèrement courbe. Une très courte queue (3,5 cm) est le plus souvent tenue relevée. Les ailes courtes et arrondies battent très rapidement. De fortes pattes roses, toutes proportions gardées, agrippent fermement le support.
Mâle et femelle sont identiques d'aspect. Le dessus est d'un brun assez chaud, nuancé par endroits de marron, particulièrement sur la queue et les sus-caudales. Un long sourcil clair surmonte l'œil sombre. Les rémiges et les rectrices apparaissent nettement barrées de brun sombre. Le dessous est beige-chamois avec les flancs eux aussi nettement barrés. Le juvénile ne se distingue des adultes que par des détails infimes de plumage invisibles sur le terrain. Aucune confusion avec une autre espèce n'est possible.

