Galerie Photographique
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Nombreux ajouts
(Janvier 2023)
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Vortex
Le terme vortex est utilisé pour désigner un mouvement tourbillonnaire de fluide ou de particules. J'aime, grâce à ma passion pour la photographie, tenter d'illustrer, de remplacer le texte par l'image...
Mésange charbonnière
La Mésange charbonnière (Parus major) est une espèce de passereaux de la famille des paridés.
Cette mésange, la plus commune et la plus grande des mésanges eurasiatiques, est facilement identifiable grâce à sa calotte et à sa cravate noires, ainsi qu'à son plumage où le jaune domine. Le dimorphisme sexuel est peu marqué.
Présente dans la quasi-totalité de l'Europe, une grande partie de l'Asie et le nord-ouest de l'Afrique, elle occupe de nombreux types d'habitats, qu'il s'agisse de forêts, de taïgas, de parcs ou de jardins, pourvu qu'il y ait des arbres. Elle établit son nid dans une cavité d'arbre ou de muraille, mais occupe également les nichoirs. Si l'espèce est généralement sédentaire et fidèle à son territoire d'année en année, des migrations partielles ont lieu certaines années, probablement en raison de la surpopulation. Grégaire, elle vit en petits groupes en dehors de la période de reproduction.
Elle a un régime alimentaire varié. Si elle est majoritairement insectivore pendant la période de reproduction, elle est plutôt granivore le reste de l'année. C'est ainsi qu'elle fréquente assidûment les mangeoires, où elle recherche des graines, essentiellement de tournesol : quand elle en trouve une, elle se pose sur une branche proche pour la déguster, puis revient.
Cette mésange, la plus commune et la plus grande des mésanges eurasiatiques, est facilement identifiable grâce à sa calotte et à sa cravate noires, ainsi qu'à son plumage où le jaune domine. Le dimorphisme sexuel est peu marqué.
Présente dans la quasi-totalité de l'Europe, une grande partie de l'Asie et le nord-ouest de l'Afrique, elle occupe de nombreux types d'habitats, qu'il s'agisse de forêts, de taïgas, de parcs ou de jardins, pourvu qu'il y ait des arbres. Elle établit son nid dans une cavité d'arbre ou de muraille, mais occupe également les nichoirs. Si l'espèce est généralement sédentaire et fidèle à son territoire d'année en année, des migrations partielles ont lieu certaines années, probablement en raison de la surpopulation. Grégaire, elle vit en petits groupes en dehors de la période de reproduction.
Elle a un régime alimentaire varié. Si elle est majoritairement insectivore pendant la période de reproduction, elle est plutôt granivore le reste de l'année. C'est ainsi qu'elle fréquente assidûment les mangeoires, où elle recherche des graines, essentiellement de tournesol : quand elle en trouve une, elle se pose sur une branche proche pour la déguster, puis revient.
Fauvette mélanocéphale
La Fauvette mélanocéphale (Curruca melanocephala) est une espèce de passereaux appartenant à la famille des Sylviidae. Elle ne doit pas être confondue avec la fauvette à tête noire (Sylvia atricapilla).
La Fauvette mélanocéphale est une espèce relativement discrète et assez compliquée à observer. Elle aime bien se cacher et fait souvent preuve d'une certaine hardiesse et de curiosité. Fréquemment, elle émerge du couvert et se perche furtivement au sommet des buissons pour observer, remuant la queue et hérissant les plumes de son capuchon. Puis, elle plonge rapidement pour retrouver l'abri de la végétation.
Cet oiseau est répandu à travers le bassin méditerranéen, et est une des fauvettes qui y est le plus répandu.
La Fauvette mélanocéphale est une espèce relativement discrète et assez compliquée à observer. Elle aime bien se cacher et fait souvent preuve d'une certaine hardiesse et de curiosité. Fréquemment, elle émerge du couvert et se perche furtivement au sommet des buissons pour observer, remuant la queue et hérissant les plumes de son capuchon. Puis, elle plonge rapidement pour retrouver l'abri de la végétation.
Cet oiseau est répandu à travers le bassin méditerranéen, et est une des fauvettes qui y est le plus répandu.
Pinson bleu
Le Pinson bleu (Fringilla teydea) est une espèce de pinsons endémique des îles Canaries.
La sous-espèce teydea vit à Tenerife et en tire son nom du point culminant, le stratovolcan Teide, et la sous-espèce polatzeki à Grande Canarie. Il est le symbole animal de l'île de Tenerife.
Avec une longueur de 16 à 18 cm, le pinson bleu est notablement plus grand que le pinson des arbres commun. Ainsi, son bec, sa tête et sa poitrine sont plus épais.
Comme son nom l'indique, le mâle possède un plumage bleu sur la tête et le haut du dos. La gorge, la poitrine et les flancs sont gris plomb plus clair. Les rectrices sous-caudales sont blanches. Son bec est noir.
Comme souvent, le plumage de la femelle est plus terne. La face supérieure en est gris-brun et la face inférieure gris-blanc.
Le pinson bleu habite les forêts de pins (Pinus canariensis) des îles Tenerife et Grande Canarie. Il vit entre 1200 et 2 000 m à Tenerife et de 700 à 1 200 m à Grande Canarie, dépassant rarement ces repères. À Tenerife, parmi ces pinèdes, on le trouve aussi dans les bruyères arborescentes (Erica arborea) et dans des lauriers (Laurus sp.).
Les pinsons bleus quittent occasionnellement cet habitat pour se nourrir au-dessus des pinèdes (2 200 m) ou, plus rarement (par mauvais temps) au-dessous (500 m), dans les jardins, les vergers et autres cultures. Il s’est également adapté à une autre espèce de pin, récemment introduite par l’homme : le pin rayonnant (Pinus radiata) dont les plantations visent à étoffer les massifs dégradés de pins canariens. Martín et al. (1980) ont montré qu’à Tenerife le pinson bleu privilégie nettement le sous-bois de genêt Chamaecytisus proliferus car il abrite des chenilles largement exploitées pour le nourrissage des jeunes.
La sous-espèce teydea vit à Tenerife et en tire son nom du point culminant, le stratovolcan Teide, et la sous-espèce polatzeki à Grande Canarie. Il est le symbole animal de l'île de Tenerife.
Avec une longueur de 16 à 18 cm, le pinson bleu est notablement plus grand que le pinson des arbres commun. Ainsi, son bec, sa tête et sa poitrine sont plus épais.
Comme son nom l'indique, le mâle possède un plumage bleu sur la tête et le haut du dos. La gorge, la poitrine et les flancs sont gris plomb plus clair. Les rectrices sous-caudales sont blanches. Son bec est noir.
Comme souvent, le plumage de la femelle est plus terne. La face supérieure en est gris-brun et la face inférieure gris-blanc.
Le pinson bleu habite les forêts de pins (Pinus canariensis) des îles Tenerife et Grande Canarie. Il vit entre 1200 et 2 000 m à Tenerife et de 700 à 1 200 m à Grande Canarie, dépassant rarement ces repères. À Tenerife, parmi ces pinèdes, on le trouve aussi dans les bruyères arborescentes (Erica arborea) et dans des lauriers (Laurus sp.).
Les pinsons bleus quittent occasionnellement cet habitat pour se nourrir au-dessus des pinèdes (2 200 m) ou, plus rarement (par mauvais temps) au-dessous (500 m), dans les jardins, les vergers et autres cultures. Il s’est également adapté à une autre espèce de pin, récemment introduite par l’homme : le pin rayonnant (Pinus radiata) dont les plantations visent à étoffer les massifs dégradés de pins canariens. Martín et al. (1980) ont montré qu’à Tenerife le pinson bleu privilégie nettement le sous-bois de genêt Chamaecytisus proliferus car il abrite des chenilles largement exploitées pour le nourrissage des jeunes.
Matières...
Changement de saison qui affirme et souligne le caractère des sommets. Avec les premières neiges la montagne révèle toute sa splendeur.
Grimpereau des bois
Le Grimpereau des bois (Certhia familiaris), aussi appelé Grimpereau familier, est une espèce de passereaux de la famille des Certhiidae.
Il est physiquement semblable à d'autres grimpereaux, avec un bec recourbé, les parties supérieures brunes, comportant des motifs plus clairs, les parties inférieures blanchâtres, et une queue constituée de longues plumes raides, qui l'aident à grimper aux troncs d'arbre.
Le meilleur moyen de le distinguer du Grimpereau des jardins (Certhia brachydactyla), avec lequel il partage une grande partie de sa répartition européenne, reste son chant.
Le Grimpereau des bois est insectivore et monte vers le haut des troncs comme une souris, pour chercher les invertébrés qu'il trouve dans les fissures de l'écorce avec son fin bec incurvé. Il vole alors à la base d'un autre arbre avec un vol erratique caractéristique.
Cet oiseau peu sociable est solitaire en dehors de la saison nuptiale, mais peut rester en groupes par les temps les plus froids. L'espèce n'est pas menacée mais est sensible à la qualité de son habitat, et sert ainsi notamment d'indicateur biologique du morcellement des forêts.
Il est physiquement semblable à d'autres grimpereaux, avec un bec recourbé, les parties supérieures brunes, comportant des motifs plus clairs, les parties inférieures blanchâtres, et une queue constituée de longues plumes raides, qui l'aident à grimper aux troncs d'arbre.
Le meilleur moyen de le distinguer du Grimpereau des jardins (Certhia brachydactyla), avec lequel il partage une grande partie de sa répartition européenne, reste son chant.
Le Grimpereau des bois est insectivore et monte vers le haut des troncs comme une souris, pour chercher les invertébrés qu'il trouve dans les fissures de l'écorce avec son fin bec incurvé. Il vole alors à la base d'un autre arbre avec un vol erratique caractéristique.
Cet oiseau peu sociable est solitaire en dehors de la saison nuptiale, mais peut rester en groupes par les temps les plus froids. L'espèce n'est pas menacée mais est sensible à la qualité de son habitat, et sert ainsi notamment d'indicateur biologique du morcellement des forêts.
Verdier d’Europe
Le Verdier d’Europe (Chloris chloris) est une espèce d’oiseau appartenant à l’ordre des passériformes (passereaux) et à la famille des fringillidés.
Il vit en Europe, au Moyen-Orient, en Asie centrale, ainsi que dans le Nord de l’Afrique. Son habitat se compose d’une mosaïque de milieux : les lisières de forêts de feuillus et de conifères, les boisements clairsemés, les boqueteaux, les régions bocagères, les vergers, les parcs, les jardins...
Relativement grégaire et anthropophile, il peut constituer des bandes hivernales où il s’associe parfois au pinson du Nord, au bruant jaune et à d’autres granivores à proximité de l’homme. Lorsque l’enneigement est important, la grégarité s’intensifie et de grandes troupes peuvent concentrer leur activité dans les champs moissonnés pourvus de leur glanure, près des fermes et dans les stations de nourrissage où abonde une nourriture encore accessible. On entend alors souvent les cris de contact caractéristiques qui ponctuent leurs envols.
Il vit en Europe, au Moyen-Orient, en Asie centrale, ainsi que dans le Nord de l’Afrique. Son habitat se compose d’une mosaïque de milieux : les lisières de forêts de feuillus et de conifères, les boisements clairsemés, les boqueteaux, les régions bocagères, les vergers, les parcs, les jardins...
Relativement grégaire et anthropophile, il peut constituer des bandes hivernales où il s’associe parfois au pinson du Nord, au bruant jaune et à d’autres granivores à proximité de l’homme. Lorsque l’enneigement est important, la grégarité s’intensifie et de grandes troupes peuvent concentrer leur activité dans les champs moissonnés pourvus de leur glanure, près des fermes et dans les stations de nourrissage où abonde une nourriture encore accessible. On entend alors souvent les cris de contact caractéristiques qui ponctuent leurs envols.
Contrastes
Soleil voilé, ciel tourmenté, brumes des vallées.
Parfois tout veut se coordonner pour souligner la beauté de nos contrées...
Chardonneret élégant
Le Chardonneret élégant (Carduelis carduelis) est une espèce de passereaux de la famille des fringillidés, partiellement migratrice.
L’espèce est classée VU (vulnérable) sur la liste rouge des espèces menacées en France éditée par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).
En 2015, le nombre de chardonnerets en Europe est estimé entre 55 et 85 millions d'individus, en légère hausse. Cela représente 55 % de leur aire de répartition, tandis que les populations continuent de baisser de façon inquiétante en Afrique du Nord, où l'espèce a disparu de 50 % de son territoire, sous la pression des captures.
En France, les populations de chardonnerets élégants sont classées en danger. Leur nombre a fortement baissé durant le XXème siècle, pour deux raisons :
Sous sa forme sauvage, il bénéficie d'une protection totale sur le territoire français depuis l'arrêté ministériel du 17 avril 1981 relatif aux oiseaux protégés. Il est donc interdit de le détruire, le mutiler, le capturer ou l'enlever, de le perturber intentionnellement ou de le naturaliser, ainsi que de détruire ou enlever les œufs et les nids, de détruire, d'altérer ou de dégrader son milieu. Qu'il soit vivant ou mort, il est aussi interdit de le transporter, colporter, de l'utiliser, de le détenir, de le vendre ou de l'acheter. Au titre du droit de l’environnement français, la peine encourue est de 150 000 euros d’amende et trois ans d'emprisonnement. Leur population en France a chuté de 40 % entre 2010 et 2020.
L’espèce est classée VU (vulnérable) sur la liste rouge des espèces menacées en France éditée par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).
En 2015, le nombre de chardonnerets en Europe est estimé entre 55 et 85 millions d'individus, en légère hausse. Cela représente 55 % de leur aire de répartition, tandis que les populations continuent de baisser de façon inquiétante en Afrique du Nord, où l'espèce a disparu de 50 % de son territoire, sous la pression des captures.
En France, les populations de chardonnerets élégants sont classées en danger. Leur nombre a fortement baissé durant le XXème siècle, pour deux raisons :
- - avec l'usage excessif des pesticides pour les mauvaises herbes, le chardonneret trouve de moins en moins facilement sa nourriture, composée quasi exclusivement de graines ;
- - durant les XXème et XXIème siècles le chardonneret est beaucoup capturé pour devenir oiseau d'ornement.
Sous sa forme sauvage, il bénéficie d'une protection totale sur le territoire français depuis l'arrêté ministériel du 17 avril 1981 relatif aux oiseaux protégés. Il est donc interdit de le détruire, le mutiler, le capturer ou l'enlever, de le perturber intentionnellement ou de le naturaliser, ainsi que de détruire ou enlever les œufs et les nids, de détruire, d'altérer ou de dégrader son milieu. Qu'il soit vivant ou mort, il est aussi interdit de le transporter, colporter, de l'utiliser, de le détenir, de le vendre ou de l'acheter. Au titre du droit de l’environnement français, la peine encourue est de 150 000 euros d’amende et trois ans d'emprisonnement. Leur population en France a chuté de 40 % entre 2010 et 2020.
Linotte mélodieuse
La Linotte mélodieuse (Linaria cannabina) est un petit fringille dont le mâle nuptial est facile à identifier par le plumage. Au fur et à mesure que le printemps s'avance, le plumage s'use, laissant apparaître les couleurs vives sous-jacentes, tout spécialement le rouge écarlate du front et de la poitrine.
Souvent, le rouge de la poitrine est scindé en deux en son milieu par une bande pâle qui rejoint le ventre blanc. La tête est grise avec des zones blanchâtres autour de l'œil sombre, au niveau des lores et sur les côtés de la gorge. Parfois s'ébauche un sourcil pâle. Une tache malaire plus grise est visible sous l'œil. Les parties supérieures (corps et couvertures alaires) sont d'un châtain clair chaud. Les rémiges primaires et les rectrices sont très marquées de blanc, ce qui se voit bien déjà sur l'oiseau posé, mais devient évident en vol. Les flancs sont roussâtres et les sous-caudales blanches. Le dessous des ailes et de la queue est blanc. Le bec est gris. Les pattes sont rougeâtres à brunâtres.
La femelle adulte ressemble au mâle, mais en plus terne, sans couleur rouge. Son plumage est nettement strié dessus (manteau et couvertures) et dessous (poitrine et flancs). On retrouve le gris au niveau de la tête avec le même patron, mais la calotte est striée.
Le juvénile ressemble à la femelle, mais il paraît globalement plus roux et est encore plus strié. Sa tête n'est pas grise mais brune et les zones pâles sont roussâtres.
Souvent, le rouge de la poitrine est scindé en deux en son milieu par une bande pâle qui rejoint le ventre blanc. La tête est grise avec des zones blanchâtres autour de l'œil sombre, au niveau des lores et sur les côtés de la gorge. Parfois s'ébauche un sourcil pâle. Une tache malaire plus grise est visible sous l'œil. Les parties supérieures (corps et couvertures alaires) sont d'un châtain clair chaud. Les rémiges primaires et les rectrices sont très marquées de blanc, ce qui se voit bien déjà sur l'oiseau posé, mais devient évident en vol. Les flancs sont roussâtres et les sous-caudales blanches. Le dessous des ailes et de la queue est blanc. Le bec est gris. Les pattes sont rougeâtres à brunâtres.
La femelle adulte ressemble au mâle, mais en plus terne, sans couleur rouge. Son plumage est nettement strié dessus (manteau et couvertures) et dessous (poitrine et flancs). On retrouve le gris au niveau de la tête avec le même patron, mais la calotte est striée.
Le juvénile ressemble à la femelle, mais il paraît globalement plus roux et est encore plus strié. Sa tête n'est pas grise mais brune et les zones pâles sont roussâtres.
Sentiment de travail accompli
Après tant d'années de suivi, des rêves parfois deviennent accomplis.
Magie d'une soirée au brame du cerf.
Bruant jaune
Le Bruant jaune (Emberiza citrinella) est une petite espèce de passereaux appartenant à la famille des Emberizidae.
Il est majoritairement sédentaire ; seules les populations les plus au nord migrent pour l'hiver. Sa migration débute entre septembre et novembre. Il hiverne dans le nord de l'Espagne, les côtes de l'Italie, dans les Balkans et en Turquie pour les populations de l'ouest, et vers la Transcaucasie, l'Iran ou le sud du Kazakhstan pour les populations orientales.
Le Bruant jaune peuple les milieux ouverts comportant des buissons et des haies, les landes et les pentes montagneuses riches en insectes et habitats variés. Hors de la période de reproduction, il fréquente essentiellement les terres agricoles.
L'homogénéisation et la simplification des paysages par les modifications des pratiques agricoles et le développement de l'usage des insecticides (en particulier les pulvérisations d'insecticides à large spectre en période de reproduction) semblent être les principales causes de sa régression. Plus l'agriculture est intensive et utilise de pesticides, moins les jeunes sont correctement nourris; ceux qui survivent sont en moins bonne condition physique. Divers parasites, bactéries, virus peuvent alors les affecter.
Il est majoritairement sédentaire ; seules les populations les plus au nord migrent pour l'hiver. Sa migration débute entre septembre et novembre. Il hiverne dans le nord de l'Espagne, les côtes de l'Italie, dans les Balkans et en Turquie pour les populations de l'ouest, et vers la Transcaucasie, l'Iran ou le sud du Kazakhstan pour les populations orientales.
Le Bruant jaune peuple les milieux ouverts comportant des buissons et des haies, les landes et les pentes montagneuses riches en insectes et habitats variés. Hors de la période de reproduction, il fréquente essentiellement les terres agricoles.
L'homogénéisation et la simplification des paysages par les modifications des pratiques agricoles et le développement de l'usage des insecticides (en particulier les pulvérisations d'insecticides à large spectre en période de reproduction) semblent être les principales causes de sa régression. Plus l'agriculture est intensive et utilise de pesticides, moins les jeunes sont correctement nourris; ceux qui survivent sont en moins bonne condition physique. Divers parasites, bactéries, virus peuvent alors les affecter.

