Galerie Photographique
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Nombreux ajouts
(Janvier 2023)
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Vortex
Le terme vortex est utilisé pour désigner un mouvement tourbillonnaire de fluide ou de particules. J'aime, grâce à ma passion pour la photographie, tenter d'illustrer, de remplacer le texte par l'image...
Pinson du Nord
Fringilla montifringilla - Famille des Fringillidés (passereaux de taille petite à moyenne / 9 à 25cm).
Le Pinson du nord fréquente la ceinture de conifères du nord de l’Europe et les bois de bouleaux de la Scandinavie, évitant les futaies denses et préférant les bois de conifères clairs mêlés à quelques feuillus. Mais il occupe une aire et un biotope différents selon la période de nidification ou d’hivernage. Il se reproduit dans les forêts de résineux, de bouleaux et de saules de son aire boréale puis il émigre, à partir de septembre (après la reproduction), au sud de cette zone pour se répandre dans des régions boisées et cultivées avec, comme milieu de prédilection, les forêts de hêtres (Fagus sylvatica). Il devient alors très grégaire et franchement migrateur, constituant des troupes de plusieurs milliers d’individus lors des migrations annuelles, voire plusieurs millions lors d’invasions. Des vols considérables ont été observés un peu partout en Europe occidentale et il semble que le record soit détenu par la Suisse avec une troupe évaluée à 72 millions d’individus près de la ville de Thoune en 1951.
Néanmoins, des fructifications exceptionnelles du hêtre ont occasionné, à diverses périodes, des concentrations gigantesques estimées, par certains observateurs, à 80 millions en Europe centrale.
D’autres invasions de moindre ampleur ont été enregistrées en 1937- 38, 1974-75 et 1976-77. Ces hordes migratrices s’établissent souvent dans les hêtraies et peuvent s’aventurer jusque dans cours de fermes et les jardins en cas d’enneigement important.
Les vols migrateurs se déplacent aussi la nuit et peuvent investir le lendemain matin un bosquet ou un coin de bois. Ces dortoirs peuvent abriter plusieurs centaines de milliers d’individus comme l’un d’eux situé au pied des Pyrénées et hébergeant, chaque année entre 800 000 et 2 000 000 d’oiseaux!
Des pinsons du nord bagués en Scandinavie ont été repris en Belgique et d’autres ont poursuivi leur migration dans le sud-ouest de la France puis dans le nord de l’Espagne et en Italie avant de regagner les sites de nidification fin février-début mars. D’une manière générale, le départ en migration commence au début ou à la fin du mois de septembre durant un flux continu jusque fin-octobre et mi-novembre. Le reflux printanier débute fin-février ou début-mars et se prolonge parfois jusqu’à la mi-mai. Lorsqu’ils quittent leurs zones d’hivernage, ils commencent à revêtir leur livrée nuptiale aux couleurs plus brillantes.
Le Pinson du nord fréquente la ceinture de conifères du nord de l’Europe et les bois de bouleaux de la Scandinavie, évitant les futaies denses et préférant les bois de conifères clairs mêlés à quelques feuillus. Mais il occupe une aire et un biotope différents selon la période de nidification ou d’hivernage. Il se reproduit dans les forêts de résineux, de bouleaux et de saules de son aire boréale puis il émigre, à partir de septembre (après la reproduction), au sud de cette zone pour se répandre dans des régions boisées et cultivées avec, comme milieu de prédilection, les forêts de hêtres (Fagus sylvatica). Il devient alors très grégaire et franchement migrateur, constituant des troupes de plusieurs milliers d’individus lors des migrations annuelles, voire plusieurs millions lors d’invasions. Des vols considérables ont été observés un peu partout en Europe occidentale et il semble que le record soit détenu par la Suisse avec une troupe évaluée à 72 millions d’individus près de la ville de Thoune en 1951.
Néanmoins, des fructifications exceptionnelles du hêtre ont occasionné, à diverses périodes, des concentrations gigantesques estimées, par certains observateurs, à 80 millions en Europe centrale.
D’autres invasions de moindre ampleur ont été enregistrées en 1937- 38, 1974-75 et 1976-77. Ces hordes migratrices s’établissent souvent dans les hêtraies et peuvent s’aventurer jusque dans cours de fermes et les jardins en cas d’enneigement important.
Les vols migrateurs se déplacent aussi la nuit et peuvent investir le lendemain matin un bosquet ou un coin de bois. Ces dortoirs peuvent abriter plusieurs centaines de milliers d’individus comme l’un d’eux situé au pied des Pyrénées et hébergeant, chaque année entre 800 000 et 2 000 000 d’oiseaux!
Des pinsons du nord bagués en Scandinavie ont été repris en Belgique et d’autres ont poursuivi leur migration dans le sud-ouest de la France puis dans le nord de l’Espagne et en Italie avant de regagner les sites de nidification fin février-début mars. D’une manière générale, le départ en migration commence au début ou à la fin du mois de septembre durant un flux continu jusque fin-octobre et mi-novembre. Le reflux printanier débute fin-février ou début-mars et se prolonge parfois jusqu’à la mi-mai. Lorsqu’ils quittent leurs zones d’hivernage, ils commencent à revêtir leur livrée nuptiale aux couleurs plus brillantes.
Je t'ai vu !
Bruce.
Vieux cerf qui aimait venir se réfugier très près des villages. Il a mené une belle vie, et a fourni beaucoup de bonheur à certaines personnes passionnées avec lesquelles il a partagé une sublime complicité.
Forêt Biélorusse
Univers de mousses, ces sous-bois dégagent une atmosphère envoutante dans laquelle j'ai pris un fameux plaisir à pister les loups avec mon cher ami Fabien Bruggmann...
Rêverie
Instant choisi.
Tant d'images demeurent longtemps des rêveries, jusqu'à ce que pour un instant tout se lie pour que certaines d'entre-elles puissent être saisies !
Récompense
Beaucoup de travail préparatif a été nécessaire pour obtenir cette scène. La fréquence de passage à cet endroit étant faible, il m'a fallu beaucoup de patience pour y parvenir. Quand ceci a bien voulu se produire le ciel était parfait. La ténacité a encore une fois payé.
Corneille noire
La Corneille noire (Corvus corone) est une espèce de passereaux de la famille des Corvidae.
Elle est présente dans deux aires distinctes : l'Europe de l'Ouest et du sud-ouest, où sa population est estimée entre 5,5 et 12 millions de couples, et l'Asie du Kazakhstan au Japon, où sa population n'est pas connue. Commune dans toute son aire de répartition, elle présente une grande plasticité écologique et se trouve aussi bien à la campagne qu'au cœur des grandes villes, comme Paris et Londres.
Oiseau entièrement noir, elle est très proche de la Corneille mantelée (Corvus cornix), avec qui elle a longtemps été considérée comme formant une seule et même espèce. Historiquement leurs aires de répartition ne se superposaient qu'en de rares endroits. Cependant depuis peu l'espèce s'est répandue et occupe les mêmes territoires , notamment à la frontière Italienne en bordure méditerranéenne. La Corneille noire reste majoritaire mais bon nombre d'hybrides naturels se sont créés, au point d'avoir du mal aujourd'hui - dans le cadre de notre suivi Associatif pour LABEL BIODIVERSITE à trouver les espèces nominales. Je vous proposerai quelques images prochainement.
La Corneille noire se distingue du Grand Corbeau par sa taille plus petite et son bec plus effilé.
Elle est omnivore et opportuniste. Elle vit en couples territoriaux stables et essentiellement sédentaires, mais peut aussi se trouver dans de grands rassemblements de corvidés. Elle est fréquemment considérée comme nuisible en raison des dommages qu'elle est réputée causer aux cultures et à la petite faune. Toutefois, sa longévité, son adaptabilité et ses capacités cognitives remarquables contribuent à expliquer la fascination qu'elle exerce sur l'homme et sa place dans de nombreuses cultures, aux côtés du Grand Corbeau avec lequel elle se confond souvent dans les mythes et légendes. Sa longue interaction avec l'homme a ainsi été décrite par le biologiste John Marzluff comme une « coévolution culturelle ».
Elle est présente dans deux aires distinctes : l'Europe de l'Ouest et du sud-ouest, où sa population est estimée entre 5,5 et 12 millions de couples, et l'Asie du Kazakhstan au Japon, où sa population n'est pas connue. Commune dans toute son aire de répartition, elle présente une grande plasticité écologique et se trouve aussi bien à la campagne qu'au cœur des grandes villes, comme Paris et Londres.
Oiseau entièrement noir, elle est très proche de la Corneille mantelée (Corvus cornix), avec qui elle a longtemps été considérée comme formant une seule et même espèce. Historiquement leurs aires de répartition ne se superposaient qu'en de rares endroits. Cependant depuis peu l'espèce s'est répandue et occupe les mêmes territoires , notamment à la frontière Italienne en bordure méditerranéenne. La Corneille noire reste majoritaire mais bon nombre d'hybrides naturels se sont créés, au point d'avoir du mal aujourd'hui - dans le cadre de notre suivi Associatif pour LABEL BIODIVERSITE à trouver les espèces nominales. Je vous proposerai quelques images prochainement.
La Corneille noire se distingue du Grand Corbeau par sa taille plus petite et son bec plus effilé.
Elle est omnivore et opportuniste. Elle vit en couples territoriaux stables et essentiellement sédentaires, mais peut aussi se trouver dans de grands rassemblements de corvidés. Elle est fréquemment considérée comme nuisible en raison des dommages qu'elle est réputée causer aux cultures et à la petite faune. Toutefois, sa longévité, son adaptabilité et ses capacités cognitives remarquables contribuent à expliquer la fascination qu'elle exerce sur l'homme et sa place dans de nombreuses cultures, aux côtés du Grand Corbeau avec lequel elle se confond souvent dans les mythes et légendes. Sa longue interaction avec l'homme a ainsi été décrite par le biologiste John Marzluff comme une « coévolution culturelle ».
Mésange nord-africaine
La Mésange nord-africaine (Cyanistes teneriffae) est une espèce d'oiseaux de la famille des Paridés.
On la trouve au Nord de l'Afrique et aux Îles Canaries. Les forêts tempérées sont son habitat naturel.
Cette espèce et la Mésange bleue d'Eurasie (Cyanistes caeruleus) étaient auparavant considérées comme conspécifiques.
On la trouve au Nord de l'Afrique et aux Îles Canaries. Les forêts tempérées sont son habitat naturel.
Cette espèce et la Mésange bleue d'Eurasie (Cyanistes caeruleus) étaient auparavant considérées comme conspécifiques.
Rossignol philomèle
Le Rossignol philomèle (Luscinia megarhynchos) est une espèce d’oiseaux de la famille des Muscicapidae.
Il est connu pour son chant, qui est un des plus mélodieux mais aussi des plus complexes, on dit qu'il chante, gringotte, quiritte ou trille, de jour comme de nuit. Il a fasciné les chercheurs qui ont dénombré entre 120 et 260 séquences différentes, elles durent en général de 2 à 4 secondes.
Le jeune mâle apprend à chanter en écoutant les plus expérimentés et marque ainsi son territoire, ou tente de séduire les femelles. Dès qu'ils sont appariés, les mâles s'arrêtent généralement de chanter la nuit. Ceci laisse supposer que le célèbre chant nocturne sert avant tout à attirer les femelles.
Il est connu pour son chant, qui est un des plus mélodieux mais aussi des plus complexes, on dit qu'il chante, gringotte, quiritte ou trille, de jour comme de nuit. Il a fasciné les chercheurs qui ont dénombré entre 120 et 260 séquences différentes, elles durent en général de 2 à 4 secondes.
Le jeune mâle apprend à chanter en écoutant les plus expérimentés et marque ainsi son territoire, ou tente de séduire les femelles. Dès qu'ils sont appariés, les mâles s'arrêtent généralement de chanter la nuit. Ceci laisse supposer que le célèbre chant nocturne sert avant tout à attirer les femelles.
Tarin des aulnes
Le Tarin des aulnes (Spinus spinus, anciennement : Carduelis spinus) est une espèce de passereaux partiellement migratrice de la famille des fringillidés.
Il est très actif et assez erratique, mais est très sociable envers les autres espèces de passereaux. Le tarin se déplace principalement en groupe dont la composition varie de quelques individus à plusieurs dizaines de couples.
Lorsqu'il se nourrit son comportement se rapproche de celui des mésanges, car il se perche facilement la tête en bas pour atteindre sa nourriture.
Le vol du tarin est onduleux et dansant surtout lorsqu’il se déplace en groupes.
Pendant la parade nuptiale le mâle poursuit la femelle, puis se dresse devant elle les plumes hérissées et les ailes légèrement entrouvertes. Le vol nuptial du mâle continue à tourner en papillonant autour de la femelle.
Il est très actif et assez erratique, mais est très sociable envers les autres espèces de passereaux. Le tarin se déplace principalement en groupe dont la composition varie de quelques individus à plusieurs dizaines de couples.
Lorsqu'il se nourrit son comportement se rapproche de celui des mésanges, car il se perche facilement la tête en bas pour atteindre sa nourriture.
Le vol du tarin est onduleux et dansant surtout lorsqu’il se déplace en groupes.
Pendant la parade nuptiale le mâle poursuit la femelle, puis se dresse devant elle les plumes hérissées et les ailes légèrement entrouvertes. Le vol nuptial du mâle continue à tourner en papillonant autour de la femelle.
Roitelet triple-bandeau
Le Roitelet triple-bandeau (Regulus ignicapilla) est une des plus petites espèces d'oiseaux d'Europe de la famille des passériformes.
Cette espèce niche dans la plupart des forêts tempérées de l'Europe au nord-ouest de l'Afrique. Elle est partiellement migratrice et leur zone d'hivernage se situe de l'Europe centrale au sud et à l'ouest de leur aire de reproduction.
Si les populations des Îles Baléares et de l'Afrique du nord sont habituellement reconnues comme une sous-espèce différente, la population de Madère est en revanche dorénavant considérée comme une espèce en tant que telle sous le nom de Regulus madeirensis.
Ce roitelet est constamment en mouvement et oscille souvent à la recherche d'insectes à manger. En hiver, il forme souvent des nuées importantes avec des mésanges. Il semble légèrement en déclin, mais il n'est pas considéré comme menacé du fait de sa toujours bonne implantation dans sa vaste zone de répartition, d'autant que l'espèce a connu une expansion au cours du siècle dernier.
Cette espèce niche dans la plupart des forêts tempérées de l'Europe au nord-ouest de l'Afrique. Elle est partiellement migratrice et leur zone d'hivernage se situe de l'Europe centrale au sud et à l'ouest de leur aire de reproduction.
Si les populations des Îles Baléares et de l'Afrique du nord sont habituellement reconnues comme une sous-espèce différente, la population de Madère est en revanche dorénavant considérée comme une espèce en tant que telle sous le nom de Regulus madeirensis.
Ce roitelet est constamment en mouvement et oscille souvent à la recherche d'insectes à manger. En hiver, il forme souvent des nuées importantes avec des mésanges. Il semble légèrement en déclin, mais il n'est pas considéré comme menacé du fait de sa toujours bonne implantation dans sa vaste zone de répartition, d'autant que l'espèce a connu une expansion au cours du siècle dernier.
Baguage & suivis
Alambic / référence Bague blanche DYJ patte Gauche / a été réintroduite dans les Baronnies en 2014. J'ai eu l'énorme privilège de constater ses ébats amoureux avec les premières tentatives de construction d'un nid dans les Gorges du Cians en 2019 avec Nestor. Lui a été relâché dans les Grands Causses en 2009. Ils ont élevé leur premier poussin en 2020.
Bouvreuil pivoine
Le Bouvreuil pivoine (Pyrrhula pyrrhula) est une espèce de passereaux d'Eurasie appartenant à la famille des Fringillidae.
Le Bouvreuil pivoine se nourrit presque exclusivement de graines et de bourgeons. Il trouve principalement sa subsistance sur les arbres, dont il pioche les semences, notamment les bouleaux, charmes, aulnes, lilas communs, érables, sorbiers et frênes. Il se nourrit aussi des graines des résineux, dont il parvient aisément à décortiquer les cônes, et des herbes folles : armoise, orties, séneçon, pissenlit..., ainsi que de celles contenues dans les baies sauvages. Les bourgeons qu'il consomme sont en priorité ceux des arbres fruitiers.
Le bouvreuil se nourrit souvent en couple ou en petit groupe, à la lisière d'un bois ou d'une haie. Il disparaît rapidement si on l'approche. Visiteur régulier des petits jardins, surtout dans les régions riches en vergers, il reste très discret, à l'abri de la végétation.
En hiver, il mange les fruits secs et charnus des sureaux, églantiers, sorbiers et autres plantes ligneuses qui l'attirent dans les parcs. Avec son bec puissant, il ouvre l'enveloppe des graines et avale leur contenu. À la fin de l'hiver, lorsque les fruits se font plus rares, il se tourne vers les bourgeons des arbres à feuillage caduc.
En été, il chasse les petits insectes, essentiels pour l'alimentation des oisillons.
Le Bouvreuil pivoine se nourrit presque exclusivement de graines et de bourgeons. Il trouve principalement sa subsistance sur les arbres, dont il pioche les semences, notamment les bouleaux, charmes, aulnes, lilas communs, érables, sorbiers et frênes. Il se nourrit aussi des graines des résineux, dont il parvient aisément à décortiquer les cônes, et des herbes folles : armoise, orties, séneçon, pissenlit..., ainsi que de celles contenues dans les baies sauvages. Les bourgeons qu'il consomme sont en priorité ceux des arbres fruitiers.
Le bouvreuil se nourrit souvent en couple ou en petit groupe, à la lisière d'un bois ou d'une haie. Il disparaît rapidement si on l'approche. Visiteur régulier des petits jardins, surtout dans les régions riches en vergers, il reste très discret, à l'abri de la végétation.
En hiver, il mange les fruits secs et charnus des sureaux, églantiers, sorbiers et autres plantes ligneuses qui l'attirent dans les parcs. Avec son bec puissant, il ouvre l'enveloppe des graines et avale leur contenu. À la fin de l'hiver, lorsque les fruits se font plus rares, il se tourne vers les bourgeons des arbres à feuillage caduc.
En été, il chasse les petits insectes, essentiels pour l'alimentation des oisillons.